Comment peut-on interpréter la dernière sortie de Khaled Nezzar ?

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Nezzar1Ait Benali Boubekeur
Comment peut-on interpréter la dernière sortie de Khaled Nezzar ?
L’histoire va retenir que Khaled Nezzar est le premier à casser la communion nationale, survenue après le décès de l’emblématique chef historique, Hocine Ait Ahmed. À vrai dire, ce n’est pas la première fois que ce personnage encombrant nage à contre sens de la communauté nationale. En 1962, au moment où les Algériens célébraient la liberté recouvrée, il participait activement au premier coup d’État pour les en priver. En 1992, quand les Algériens espéraient participer de façon active au renforcement des institutions démocratiques, Khaled Nezzar a recouru au coup d’État pour tuer leur rêve dans l’œuf. Aujourd’hui, au moment où les Algériens saluent la mémoire d’un géant, lui, le nabot, il se distingue par son esprit haineux et revanchard.
Cependant, pour mieux comprendre le personnage, il suffit de se référer à quelques contes populaires, où ces derniers nous offrent une pléiade d’exemples. Parmi ces contes, il y a celui de Jeha voulant que les gens du village parlent de lui. Personnage médiocre, il n’a rien d’intéressant qui puisse inciter les villageois à citer son nom. Cette situation peine évidemment Jeha. Tenant coute que coute à ce que les villageois en parlent de lui, il fait caca dans la fontaine du village. À partir de là, la nouvelle se propage telle une trainée de poudre. Voilà comment Jeha est parvenu à ses fins.
Quelle est la morale de cette histoire ? Lors des funérailles de Hocine Ait Ahmed, tout le monde remémore son engagement historique et salue son combat. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ces funérailles sont dignes d’un grand chef d’État. Il faut le dire sans haine ni revanche, un Khaled Nezzar n’a pas sa place dans cette cour des grands. Du coup, comme il fait Jeha dans le conte déjà évoqué, Khaled Nezzar publie une contribution dans le journal de son fils où il tente de souiller la mémoire du grand patriote, Hocine Ait Ahmed.
Peine perdue, puisque les réactions s’enchainent pour défendre l’un des hommes politiques les plus probes d’Algérie. Mais, si le général Khaled Nezzar était honnête, il devrait tenir ses propos nauséabonds du vivant de Hocine Ait Ahmed. Quant à sa relation dont parle Khaled Nezzar, Hocine Ait Ahmed lui a donné déjà la réponse au début des années 2000 : entre nous, il y a un fleuve de sang. Enfin, la différence qu’il y a entre les deux hommes, c’est que l’un fait de la politique pour convaincre les Algériens, l’autre sort ses chars pour massacrer les Algériens en vue de gouverner. Donc, il n’a y aucune comparaison possible.

19 Commentaires

  1. AU CREPUSCULE DE SA VIE IL ASSUME SANS AUCUN ETAT D AME LA MACCABRE COMPTABILITE DE TOUTE UNE DECENNIE NOIRE QUE DIS-je ROUGE SANG……..IL A SAUVE SA REPUBLIQUE …COMMENT PEUT ON ETRE AUSSI AVEUGLE…EST CE VRAIMENT UNE SIMPLE AFFAIRE DE POUVOIR? POURTANT IL A L AIR DE CONSERVER SES ESPRITS……SE REND IL COMPTE DE CE QU IL DIT ET DE CE QU IL A FAIT?….

  2. C’est vraiment honteux de sa part. Mais cela ne m’étonne point. Car parler sur des morts qui ne peuvent lui répondre est une attitude de lâche… Pourquoi ce fils d’une lignée de caïds et donc d’une famille de collaborateurs avec le colonialisme français n’a-t-il pas contredit feu AÏT AHMED de son vivant lorsqu’il avait affirmé cela lors d’une conférence publique en Suisse (à voir sur U TUBE…)?
    Il avait procédé de la même façon avec feu CHADLI BEN DJEDID en mentant:
    « CHADLI m’a dit: A TOI DE JOUER SI KHALED! (comprendre par là… IL FAUT ARRÊTER LE PROCESSUS ELECTORAL ET RÉPRIMER DUREMENT LES MANIFESTANTS!!! »)
    Bien sûr, CHADLI BEN DJEDID ne pouvait pas lui répondre également, dans la mesure où il était à deux mètres sous terre.
    C’est honteux et lâche. Même les morts… n’échappent pas à leurs langues de vipères et à leurs mensonges.
    Que la malédiction divine d’ALLAH SOBHANOU!!! Retombe sur toi… et ta famille.

  3. Bonjour à tous,
    Dans mon village au bled en kabylie, on racontait aussi cette histoire au sujet d’un monsieur qui voulait « médiatiser » sa personne et qu’il soit à la une de toutes les conversations dans le village. On dit de lui pardonnez l’expression « yekhra thala » (il a fait caca dans la fontaine ou la source d’eau du village). Et effectivement tout se mettait à parler de ce Monsieur dont j’ai oublié le nom qu’on lui donnait. Ceci étant, et à propos de khaled Nezzar, personnage néfaste aux Algériens à plus d’un titre, il n y a aucune comparaison à faire avec Le grand DDA L’HO. Il n y a aucun de terrain, aucune assise sur laquelle on pourrait comparer quoique que ce soit entre ces deux hommes, que dis je, entre l’Homme avec un Grand H et l’autre dont je ne donnerai pas de qualificatif. Il y a juste que quand on fait un tel brouhaha, un tel boucan contre quelqu’un que tout le monde glorifie pour toutes ses qualités, ses actes et son parcours, c’est effectivement qu’on vient de faire caca dans la fontaine. Bonne journée à tous.

  4. Compte ta propre personne parmi les morts.
    Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
    D’après Abou Darda (qu’Allah l’agrée), le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Adore Allah comme si tu le voyais et certes si tu ne le vois pas Lui Il te voit ; compte ta propre personne parmi les morts (*) ; prend garde à l’invocation de celui qui subit une injustice car elle est exaucée ; et celui d’entre vous qui peut assister aux deux prières: le ‘icha et le sobh même en rampant qu’il le fasse ».
    (Rapporté par Tabarani et authentifié par Cheikh Albani dans Sahih Targhib n°418)
    (*) C’est à dire que tu dois être dans la vie d’ici-bas comme un étranger qui est venu pour accomplir un besoin et va retourner vers son pays qui est la tombe.
    (Fayd Al Qadir hadith n°1131)
    عن أبي الدرداء رضي الله عنه قال رسول الله صلى الله عليه وسلم : اعبد الله كأنك تراه فإن لم تكن تراه فإنه يراك واعدد نفسك في الموتى وإياك ودعوة المظلوم فإنها تستجاب ومن استطاع منكم أن يشهد الصلاتين العشاء والصبح ولو حبوا فليفعل
    (رواه الطبراني و حسنه الشيخ الألباني في صحيح الترغيب و الترهيب رقم1131.
    « La propreté fait partie de la foi. »Proverbe musulman
    « Ne demandez jamais quelle est l’origine d’un homme; interrogez plutôt sa vie et vous saurez ce qu’il est. » Citation Emir Abd El-Kader.
    « Il n’y aurait plus de calomniateurs s’il ne se trouvait plus personne pour les écouter avec intérêt. » Proverbe arabe.
    « Les chiens aboient, la caravane passe. »Proverbe arabe.
    – Ttruhun wudmawen, t?aman-d yesmawen (Les visages disparaissent mais les noms restent)proverbe et citation kabyle.
    « Le chameau ne regarde pas sa bosse, il ne regarde que la bosse des autres. » Proverbes arabes.
    « Si le mot que tu vas prononcer n’est pas plus beau que le silence que tu vas rompre, ne le dis pas » proverbe soufi.
    A méditer

  5. Le comble de l’insolence ce sinistre personne dans un état de droit il serait emprisonner a vie et dans l’absence d’un état tous court il jouit sur les morts
    en attendant il y a Allah il s y occupe de lui

  6. Nezzar veut qu’on parle un peu de lui, Le départ du feu Ait Ahmed lui a volé la UNE et l’ à mis à nu, lui et ses acolytes, l’hommage unanime et la solidarité populaire lors des funérailles de Dalho n’est pas encore digéré par ses détracteurs…
    Nezzar hommes des CERCLES occultes du pouvoir, commanditaire des TRIANGLES de la mort et du crime de milliers d’innocents,qu’il soit inhumé au CARRÉ d’el Alia il ne sera jamais une FIGURE de l’histoire comme le fut Dalhou.
    Nezzar ne pouvant faire de l’ombre au défunt de son vivant, nous éclaire par cet acte LACHE de la nature hideuse et sombre des DAFistes…

  7. Djeha reste plus noble. ce qu a fait Djeha par son deriere; ce criminel hors pair l a toujours fais par sa bouche. Il ment comme il respire les trois phases (Gaz, liquide et solide)tous puantes et poluantes. Il ne saisi toujours pas óu lui et ses camarades (eradicateurs inclus) ont menes le pays. Meme si un jour lui et ses amis criminels decident de quitter le pays et rendre a la nation tous ce qu ils ont voles,ca serai un miracle si on peut ce relever de cette cendre. YA ALLAAAAAAH et il continue a parler de « siadou echorafa »

  8. Loin de lui l’idée que très bientôt il doit quitter ce monde et qu’il doit répondre de tous ses actes. Il est complètement aveuglé par la vie et par son ego. Allah égare qui il veut et guide qui il veut. Allah ne guide point le menteur mécréant, Allah ne guide point les intrigues des méchants, Allah ne guide point les injustes. Le mal qu’il a fait au peuple algérien et à l’Algérie est incommensurable.

  9. l’impunité totale il peut dire tout et n’importe quoi a mes yeux un animal a plus de valeur que ce mythomane aucun honneur facile de prendre a témoin des morts il me donne envie de vomir.

  10. Interpretation version 1:
    L’assassin de masse, le general major Algerien, ministre de la defence et president de la Republique Algerienne Democratique et Populaire le sieur Khaled Nezzar a recu un ordre de ses avocats pour dementir les propos comme quoi il a ete’ le faiseur des rois en Alfgerie, en fin de compte qu’il a ete’ un des macabre marionnettiste Algerien.
    Ses avocats a l’etranger, comme en Suisse par exemple ont du mal a l’extirper des accusations de crimes contre l’humanite’.C’est pour cela qu’il dit qu’il n’y a pas eu de coups d’etats, qu’il n’a pas propose’ de poste de president a personne, qu’il veut qu’il ne soit pas nee’ a la fin d’une vie miserable, mesquine et criminels.
    Il y a le feu dans la demeure des generaux assassins Algeriens. Il y Betchine qui accuse Toufik Medienne d’etre le responsable des assassinats de masse en 96, 97 et 98.

  11. Salam a tous …
    Voila donc ce fils de retraite de l’armee francaise qui veut nous faire entendre que DA LHOCINE est un menteur….Il me semble qu’attendre une personne qu’elle soit morte pour la diffamer releve de la lachete et du ROUGHS…Ce general marionette Durant le proces en france de SOUADIA N’A PAS DEMENTI DA L’HOCINE QUAND IL A PARLE DE L’OFFRE DU POSTE DE PRESIDENT.
    Les minutes du proces existent et je pense accessible au public specialise.

  12. de nos jours les hommes qui reconnaissent les vrais valeurs d autres hommes sont rares.SI EL MOCINE est LA FIERTE DE TOUS LES NATIONALISTES ET DEMOCRATES DE L ESTà l OUEST,du NORD au SUD et non de ceux qui meprisent ,ni de ceux qui dilapident et plongent leur peuple dans la misere et l injustice.SON ENTERREMENT EST UNE DEMONSTRATION ET UNE LEçON pour ceux qui le denigrent et le critiquent.SI EL HOCINE EST PLUS AIME APRES SA MORT QUE DE SON VIVANT ET L HISTOIRE REVELERA SES GRANDS HOMMES.

  13. Bonjour à tous, je ne pouvais m’empêcher de rapporter l’intervention de Mr Benchicou sur TSA ici sur LQA.
    Il n’est décidément pas plus bavard que la Grande muette quand elle s’y met. Nos généraux racontent le passé avec volubilité. L’ennui, c’est que leur mémoire est aussi aléatoire que celle de ces politiciens qui s’amusent à résumer un siècle de luttes algériennes à un épisode des « Feux de l’amour ».
    Le combat singulier du peuple algérien ne se réduit pas à ses intrigants, ses héros, ses traîtres et ses chevaliers intrépides. Il ne suffit pas de proclamer, haut et fort, dans un micro, que tel est un traître et tel autre un inoubliable Robin des bois, pour aussitôt graver l’histoire nationale. Telle semble pourtant fonctionner la mémoire de certains généraux algériens : dans la confusion, l’omission historique, parfois dans la frivolité si ce n’est dans la vanité. Elle n’évoque pas la complexe histoire de notre peuple avec l’humilité de l’explorateur ; elle la décrète avec la suffisance des matamores.
    Ainsi va-t-il pour le général Khaled Nezzar, qui se délecte d’être au centre de toutes les controverses, les petites comme les grandes, et dont il faut reconnaître qu’il ne craint ni l’embarras du désaveu ni le désagrément des mémoires courtes. En politique, cela est, paraît-il, une qualité.
    Depuis Coluche, on sait que le plus dur pour les hommes politiques, c’est d’avoir la mémoire qu’il faut pour se souvenir de ce qu’il ne faut pas dire. Le général Nezzar n’en a cure. Il parle de Chadli, d’Aït Ahmed, du 5 octobre avec une superbe et une autorité qu’il n’a pourtant plus. Les témoignages de Khaled Nezzar sont frappés de suspicion, voire de nullité depuis ce jour de mai 2004 où il a choisi entre le prestige du combattant et le confort du mandarin.
    Pour s’épargner les foudres du président Bouteflika qui venait d’être réélu et dont il venait, quelques mois plus tôt, de dresser un portrait peu glorieux dans son pamphlet « Bouteflika, un homme, un bilan », notre général-major tout puissant s’est lamentablement désavoué sur la chaîne Al Jazeera, affirmant, avec aplomb, n’avoir jamais critiqué le chef de l’État, ni encore moins contesté son passé de moudjahid.
    Sa réponse sonne encore à mes oreilles : « Que pouvais-je savoir du passé de moudjahid de Si Bouteflika pour prétendre écrire qu’il fut un faux maquisard ? » C’est pourtant bien dans son livre qu’on lit cette diatribe sans nuance à propos du chef de l’État : « Est-il venu au pouvoir sur des exploits de foudre de guerre ? Où est donc son apport à la Révolution lorsque son nom n’est lié qu’à la sape, au complot et au coup d’État ? » Ou cette autre charge non moins virulente : « Le grade de capitaine de l’ALN qu’a arboré Bouteflika n’a pas été en rapport avec un commandement opérationnel, comme cela se pratique dans les autres Wilayas combattantes. L’apport personnel d’Abdelaziz Bouteflika, inconsistant en termes de présence effective au corps et de sacrifices personnels, deviendra à grands renforts de grades octroyés, le parcours d’un grand combattant ».
    En refusant d’assumer ses écrits, l’ancien chef de l’état-major de l’ANP, ancien ministre de la Défense et prestigieux membre du Haut conseil de l’État, venait de se faire hara-kiri et, pire, de désespérer ceux qui avaient cru à son combat. On ne prend pas les rennes d’une cause pour l’abandonner au premier écueil qui se dresse sur le chemin. Cet instant de servitude sur AlJazeera effaçait cinquante ans de prestige. Le général rejoignait, dans le temple insignifiant des repentis, des hommes sans panache tels Belaïd Abdesselam, autre auteur d’un brûlot contre Bouteflika, et qui opta, lui aussi, pour la repentance.
    S’il est quelque peu vrai qu’en politique, « rien n’est plus admirable que d’avoir la mémoire courte », pour paraphraser John Kenneth Galbraith, il est néanmoins risqué de prendre le silence d’une société bâillonnée pour de l’amnésie. « Les peuples qui n’ont plus de voix n’en ont pas moins de la mémoire », nous rappelle Benjamin Constant et notre général aurait été bien inspiré de ne jamais l’oublier.
    L’inadvertance est un défaut de civil. Un militaire, lui, est censé ne jamais se trouver, par mégarde, au milieu d’un champ de bataille qui n’est pas le sien. On laisse toujours un peu de sa réputation à battre en retraite. Aussi cette prétention à vouloir parler en tant que « décideur » me semble-t-elle déplacée. Rien, dans la désespérante impasse d’aujourd’hui, n’autorise Nezzar à user de ce ton péremptoire en évoquant Aït Ahmed ou Chadli Bendjedid.
    Tout, au contraire, l’invite à la retenue, à commencer par le bilan catastrophique de l’homme que la caste militaire a érigé en chef d’État en 1999, envers et contre l’intérêt national et qui a fini par terrasser l’Algérie puis ses parrains.
    Quand on a réussi la performance d’arracher le pouvoir à Zéroual pour, en définitive, le mettre entre les mains d’une mafia invisible qui se livre impunément à la rapine et engeôle les officiers honorables, on a forcément un peu de ce déshonneur dans les mains et cela, cette part de responsabilité historique dans l’abaissement d’une nation, hier libérée par Ben M’hidi, aujourd’hui garrottée par des truands, rien que cela, vous interdit, mon général, d’évoquer l’épisode Chadli avec une ironie qui est, désormais, au-dessus de vos moyens.
    Vous auriez dû rester l’homme indigné qui m’avait remis, un soir de septembre 1998, ce communiqué sur la « marionnette qui roulait dans le burnous de Boumediene ». C’eut été conforme à l’espérance des Algériens et à la gravité de la situation d’alors. Vous avez choisi une autre voie. Pour avoir longuement parlé avec l’ancien président Chadli, et sans doute parce que les morts ont toujours tort s’il n’y a personne pour les défendre, je me sens redevable d’une vérité à dire aujourd’hui et tout de suite.

  14. A lire le texte de Benchicou, Nezzar radjel quand il a initié le coup d’Etat plongeant le pays dans l’horreur, mais il n’est plus radjel quand il s’est rallié à Bouteflika en 2004. Drôle de raisonnement. Le problème de Benchicou est Bouteflika et non le système. Lui qui a soutenu avec son torchon de l’éradication, les janviéristes, jusqu’au moment où il a été lâché par ces derniers et s’est retrouvé seul.
    Benchicou est très mal placé pour nous parler de démocratie et de politique.

  15. DES GENS PAREILS IL FAUT VOIR LEURS FINS…GENERALEMENT ILS ACHEVENT LEUR VIES DANS LE SUPPLICE QUI SIED A LEURS DESTINEES ..DES QUE LA FIN S APPROCHE DE QUELQUES JOURS ILS GOUTERONS DANS CETTE VIE ICI-BAS UN ECHANTILLON DE CE QUI LES ATTENDS…ILS NE MOURRONT PAS…MAIS ILS NE RESTERONT PAS NON PLUS EN VIE….

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