Tout est bien dit dans cet article sauf qu’il n’y a pas de président de la république. En regardant un jour la video de Sellal avec David Cameron reçu à Alger, et Youcef Youssefi essayant de tenir David Cameron par le bras pour lui montrer la bonne direction et encore Sellal qui disait des choses comme : » 3aounouh chouia chouia, chetha menna 3Arss melhih, etc » je croyais au debut que c’etait un video gag sans plus, genre de doublage. Mais NON ! c’etait aussi vrai que quand je respire, le meme cloune de sellal disait » sbah elkhir ya batata » a un representant des chantiers de construction chinois en Algerie. Alors je pense qu’ils ont fifni par se dire, cette populasse est prete a encaisser n’importe quoi, preuve : Amara Ben younes nous a insulte, Sidi SAID encore pire il a insulte la religions de nos meres, je pense que les mots ne serviront plus a rien quoi que vous disiez !! 0
Ya-t-il d’abord un gouvernement avec un minimum d’homogénéité et de cohérence aussi bien dans sa composante que dans un programme et surtout des objectifs à atteindre. Tous «les ministres» parlent du programme du président. Ainsi personne n’a de programme ni d’objectif a atteindre si ce n’est ceux d’un seul homme en l’occurrence le président. Ce dernier est donc le seul et unique responsable devant qui ? Nous ne le savons pas, le peuple le président ne s’est pas adressé a lui depuis longtemps. Donc les ministres ayants échoués ne sont pas responsables à l’instar de Mme Benghebrit suite a la fuite des sujets du bac, de M. Bouchouareb suite a la publication de son nom dans les Panama papers, de M. Sellal suite à l’implication de sa fille dans Panama papers. Pour ne citer que ces exemples car la liste elle peut s’avérer très longue. Le pouvoir en réalité ne communique qu’avec lui même rarement avec le peuple. Ce dernier n’est sollicité que lorsqu’il s’agit de faire des sacrifices ou à la veille des élections et encore c’est pour remplir les bureaux de vote devant les caméras des TV, quant aux bulletins le pouvoir a toujours su comment faire sortir des urnes ses valets et autres soufirfes. Depuis l’avènement de Bouteflika nous assistons malheureusement a un renversement total de l’échelle des valeurs, les truands, les escrocs les affairistes, les arrivistes sont tous ou presque tous aux postes de responsabilité de l’APC jusqu’aux postes supérieurs de l’état. La déliquescence touche tous les secteurs a tel point qu’un enseignant raconte que les salles d’examens du BEM jusqu’au doctorat sont de véritables foyers de fraude et de tricherie. Sur le plan économique c’est un autre fiasco (ansej, cnac, angem) les projets initiés dans le cadre de la relance économique (pêche) qui ont engloutis des milliards et qui n’ont profité qu’aux enfants de la nomenklatura sont un échec sans précédent. L’effacement de la dette des agriculteurs n’a en réalité profité qu’aux escrocs et autres voleurs. La confiance n’existe plus entre gouvernants et gouvernés,tout ce qui vient du pouvoir est considéré comme douteux. La question posée aux lendemains de l’indépendance «où va l’Algérie» est toujours d’actualité mais avec plus d’acuité car le bateau Algérie risque vraiment de couler. 0