La pénurie de lait au pays de la clownerie boulitique !

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Gang du lait

4 Commentaires

  1. PENDANT QUE LA HAUT LES VEAUX S ENGRAISSENT D AVANTAGE A PARTIR DES NOMBREUSES FORMES DE SUBVENTIONS, ICI, EN BAS, dans les traditionnelles zones ou s exprime la precarite ….la ou il y avait des casiers en grandes quantites exposes sur les trottoirs on constate malheureusement contrairement aux declarations de nos responsables qu il n y a plus de sachets de 25DA ! il n y en a plus…on ne le produit plus….les meme personnes qui ont confines le pays dans une situation d importateur ..ces gens qui ont presque rendu l initiative d une industrie laitiere impossible se partage les subventions et veulent nous faire avlaer des couleuvres…elles sont trop grosses et ce n est pas le speculateur d un sachet qui pourrait etre le coupable tout designe…il est vrais il faut un coupable ….

  2. Peut on dire que tout est faux …tout est calculé sur le dos du peuple ….des discours y ´en ,pas la traçabilité …alors attendant zorro qui a peur de venir …il exite en Europe une trentaine de variété de lait …la solution c ´est quoi …la fin du pétrole .bon après-midi .

  3. Bonjour à tous,

    Par Chawki Amari aujiurd’hui sur el watan,

    En 1999, et même avant, l’Algérie était dépendante à 98% de ses hydrocarbures, qui pour l’essentiel sont pompés par des multinationales étrangères. En 2016, l’Algérie est toujours dépendante à 98% de ces mêmes hydrocarbures. A partir de ce déprimant constat, comment imaginer que des réformes, conduites par les mêmes hommes depuis 1999, ne serait-ce que pour porter l’indépendance à 3%, aient une chance d’aboutir ? Le calcul peut être fait en suivant une logique mathématique, 100% moins 98% = 2%, l’Algérie a donc 2% de chances de voir ses réformes aboutir. Et pour augmenter la probabilité de réussite, il faudrait changer 98% du personnel politique, du sommet aux strates intermédiaires, ce qui a environ 2% de chances d’arriver, le dirigeant algérien ayant cette fâcheuse manie de ne jamais reconnaître qu’il fait partie de l’échec, convaincu qu’il est encore lié à la solution.

    Evidemment, il y a pire, un pays qui serait dépendant de ses exportations de matière première à 99%, voire à 100%. Mais y a-t-il une différence significative entre 98 et 100 ? Pas vraiment, mais ce 2% porte une charge symbolique, on a échappé au zéro absolu. Surtout, ce 2% ramené à la population, donne 800 000 Algériens. Il y aurait donc près d’un million d’Algérien(ne)s qui produisent bien, ce qui est rassurant, et c’est ce million qui devrait être aux commandes de la décision et l’action économique. A la place, l’Algérie s’est dotée d’un ministre milliardaire qui a des comptes au Panama, un luxueux appartement à Paris et avait lui-même monté une usine en son temps, de chips, avec l’argent des banques publiques, et qui a fait faillite. Petit sondage, 98% des Algériens pensent que l’échec économique est dû à des facteurs internes, l’incompétence de sa gouvernance et l’inefficacité de sa gestion, 2% n’ayant pas d’avis sur le sujet. 98% des dirigeants pensent qu’ils sont bien à leur place. 2% étaient injoignables au moment du sondage.

    Chawki Amari

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