Très choqué par cette décision qui à mon avis est plus dure à accepter que celle de 2001/2002. Certes certains éléments laissaient déjà penser qu’une telle décision serait prise depuis plus de 1 an et demi au moment de la mise sur les réseaux par certains personnes proches du DRS du témoignage de Ali Haroun qui a conduit au changement du procureur. Espérant que ce n’est qu’une partie remise et que justice serait rendue. Par ailleurs, je dis à ceux qui applaudissent depuis hier en adressant des félicitations à ce criminel de guerre, en insultant les victimes, honte à vous. Nezzar ne vous serait d’aucuns intérêt ni de ce bas monde, ni dans l’autre. Ce n’est qu’un humain qui mange et qui fait Kaka comme tout le monde.
Au minimum, il faut que ce criminel contre l’humanité ne puisse jamais profiter de l’argent du crime et qu’il ait la trouille permanante dès qu’il met sa botte dégoulinante hors d’Algérie.
quand Nasser sortit politiquement vainqueur de l’épisode « canal de suez » les français comprirent à ce moment précis (décembre 56) qu’il fallait mettre tout en œuvre pour tuyauter le fln et l’aln de l’intérieur la preuve, l’hécatombe des véritables héros de la guerre de libération Ben Boulaid, BenM’hidi, Morad Didouche, Abane? Amirouche etc, etc, le soutien de l’aln « extérieur » n’a rien soutenu pour les véritables combattants de l’intérieur Savez vous grâce à qui les français ont ils pu obtenir tant et tant de réussite ???? Ben grâce à des energumenes comme Nezar !!!!!!!!!
Quelle mouche a piqué le Ministère public de la Confédération suisse (MPC)?Sont ils tombés si bas ? L’argument qu’il n’y avait pas de conflit armé en Algérie au moment des fait ne tient pas debout, le monde entier est temoin qu’ il y avait une guerre feroce entre les islamistes et l’ armée algerienne? Mais sur quelle planéte vivaient les fonctionnaires du MPC? Cette decision inique jette une suspiction et un doute legitime sur la credibilité et l’ integrité de la justice helvetique.
Il faut chercher une chekkara dans un compte bancaire suisse,c’est la seul explication plausible,vu la tournure des événements et connaissant nos généraux. Enfin, le Peuple algérien connait ses tortionnaires même s’ils seront innocenter par tout les tribunaux du monde, « Ya Qatel Erouh Win Etrouh », Wallah toutes les âmes que vous avez assassiner d’une manière ou d’une autre,directement ou indirectement, des civiles et des militaires sont entrain de vous attendre, vous n’êtes pas éternel Mr Nezzar je n’aimerais pas à votre place ni dans ce bas monde ni dans l’au-delà… Vous pouvez leurrer ceux qui n’ont pas vécu la tragédie, vous pouvez bluffer ceux qui ne vivent pas en Algérie, en leur faisant croire à un état de droit avec toutes ces institutions fantoches qui ne servent nullement le peuple, mais nous on vous connait assez et personnellement vous me faite de la peine car je sais que les consciences reprennent du service quand on vieillit et qu’on s’approche plus de la mort et en pensant à tous ses morts qui nous ont précédés. Si vous avez les mains propres reposez en paix mais si elles sont souillés de sang d’innocents , que soit souillé votre nom dans les deux mondes.
Non Vous n’aviez rien compris! connaissant bien la Suisse a mon avis ont fait un échange; les Suisses continuer a expulser en violation du droit international nos ressortissants Criminels »pauvre clandestins et autres injustement condamnés » en contre partie ce chantage de classer cette affaire et d’autres affaires voilà, les plus fort mangent les plus faibles, nous devrions agir que soient en suisse ou en algérie, il faut crée des organisation en Suisse contre leurs système qui a détruit pas mal de vie de pauvre immigrants et d’algeriens et pareil pour les notre, sachez enfin que pratiquement tous hommes politique possèdent des maisons en Suisse et en france en espagne italy turquie dubai, dans les quatiers les plus huppés et les plus chics
La Suisse, un pays juste et démocratique hahahahah une blague. Plutôt opportuniste et sanguinaire/ Lisez l’histoire de la Suisse et ses trafics d’armes et l’argent volé et blanchi dont Ont profité tous les suisses.
Sans vous vexez. Vous y avez cru à la justice suisse ???? Ma parole mais vous êtes crédules. Nos mafieux on eu à leur tête un certain El mokh http://lequotidienalgerie.org/2011/05/19/l’etrange-retour-du-general-touati-surnomme-«el-mokh»/ Ce pays est un pays criminel et ses citoyen vivent avec les bénéfices de l’argent blanchi volé par des dictateurs successifs.
Une information passée sous silence et dire ??? Démission du nouveau procureur chargé de l’affaire Nezzar. Stefan Waespi, expert en droit pénal international et responsable de plusieurs cas de crimes de guerre au Ministère public de la Confédération, a démissionné fin janvier. Il laisse plusieurs enquêtes en cours. L’unité Crimes de guerre du Ministère public de la Confédération (MPC) est de nouveau dans la tourmente. Les affaires de Rifaat el-Assad et du général Nezzar verront un quatrième procureur se pencher sur elles en l’espace de quatre ans. Après le licenciement de Laurence Boillat et le court intérim d’Andreas Müller en 2016, c’est au tour de Stefan Waespi de jeter l’éponge, ainsi que l’a appris Le Temps. Pression de la hiérarchie et manque d’indépendance Selon notre enquête, cet ancien procureur auprès du Tribunal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) était mécontent depuis un certain temps. La pression de la hiérarchie et le manque d’indépendance auraient eu raison de ses nerfs. En effet, comme Le Temps le révélait en novembre dernier, ces affaires, sensibles politiquement, sont classées orange par l’organe de contrôle interne du MPC. Du coup, pour chaque acte d’instruction, le procureur chargé du dossier doit faire remonter ses décisions à la hiérarchie. Comme l’affirme une ancienne collaboratrice, la marge de manœuvre de Stefan Waespi était quasiment inexistante. «Lors de plusieurs réunions, on lui a fait comprendre que les cas de crimes de guerre n’étaient pas la priorité du MPC», explique cette ancienne fonctionnaire. Plus grave encore, les supérieurs de Stefan Waespi l’auraient mis sous pression, afin qu’il classe la procédure Nezzar. «La question n’était pas pourquoi il fallait classer, mais bien comment trouver un prétexte pour le faire», explique-t-elle. Me Bonnant regrette Avocat du général Nezzar, Me Marc Bonnant avoue sa surprise devant ce départ et dit regretter la perte d’un homme «aussi compétent que respectueux». L’ancien bâtonnier genevois ajoute : « Le problème, c’est que, pour chaque dossier qui sera repris, ce sont des mois et des mois de familiarisation qui seront nécessaires. Dans le cas où la justice déciderait par malheur de casser la décision de classement envers mon client, il ne serait pas jugé avant 2020 ! » En plus de ces deux affaires, qui sont encore en suspens devant le Tribunal pénal fédéral de Bellinzone, le procureur Stefan Waespi laisse derrière lui la procédure Sonko, qui vise l’ancien ministre de l’Intérieur gambien, emprisonné à Berne depuis plus d’un an. Une décision d’autant plus surprenante que le procureur avait lui-même déclaré espérer amener cette procédure en procès d’ici à la fin de l’année. L’avocat d’Ousman Sonko, Philippe Currat, est circonspect: « J’ai peur qu’il n’y ait pas assez de moyens attribués à cette unité. Le législateur n’avait pas prévu qu’il y aurait autant de cas nécessitant la compétence universelle. Du coup, les procureurs ont beaucoup de dossiers en même temps et leur stratégie sur les affaires s’en ressent.» L’homme de loi regrette aussi la perte d’un « spécialiste en la matière » et espère que son poste sera repourvu. Effectifs restreints Pourtant, le manque de temps à disposition des procureurs de l’unité Crimes de guerre n’est pas un problème récent. En effet, il date de la réorganisation du Ministère public de 2015, qui a rattaché ce département à la division Entraide judiciaire. Depuis cette fusion, les effectifs de l’unité ont été systématiquement restreints. Une source au sein du Ministère public nous a déclaré avoir reçu comme ordre de la part de la responsable de la section, Lucie Wellig, d’accorder la priorité aux dossiers d’entraide. Une situation qui inquiète Philip Grant, fondateur de Trial International, une ONG spécialisée dans la traque de criminels de guerre. « Il est indispensable que l’unité puisse être distincte et spécialisée. Les dossiers d’entraide internationale n’ont rien à voir avec les affaires concernant des crimes de guerre ou contre l’humanité. Il y va de la crédibilité de la Suisse comme Etat dépositaire des Conventions de Genève .» Contacté, Stefan Waespi nous a confirmé ne plus travailler pour la Confédération et déclaré n’avoir rien à ajouter. Selon nos recherches, ses dossiers seront repris par trois procureurs différents. Une information confirmée par le MPC, qui ajoute que des procureurs de la division Entraide judiciaire et Droit pénal international se répartiront les procédures en cours. Refusant d’entrer dans les détails concernant les raisons de son départ, il ajoute : « Le procureur a choisi de poursuivre son parcours professionnel dès le […] Antoine Harari – Le Temps [Suisse] 2