Les rappels profitent aux croyants, tous les croyants

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foi superficielleAbdelhamid Charif

 

Seuls les morts seraient insensibles à une situation politique inquiétante, où l’illégitimité d’un coûteux aventurisme a fini par dérouter « sauveurs et courtisans », et l’infirmité et l’incohésion par atteindre le sommet de l’Etat. Mais même très soucieux, les mortels sursitaires éloignés ne peuvent que prier et creuser les neurones pour imaginer une issue salutaire. Les analyses, critiques, et débats, ne doivent cependant pas entraver les obligations quotidiennes, aussi bien professionnelles et sociales que religieuses, surtout en ce mois sacré de Ramadhan.

Il ne s’agit certes pas d’un mauvais rêve qu’on oublie au réveil, mais toute crise demeure une épreuve humaine relative, et ce sont plutôt ceux qui en sont responsables qui se réveilleront plus tard face au cauchemar sanctionnant l’irresponsabilité. Et pour se rappeler avec résilience des redoutables aboutissements, il convient de se ressourcer régulièrement. Ce mois de piété et retenue est une station annuelle importante, et la prière et le Coran sont privilégiés, mais les sources de recharge spirituelle sont illimitées. Les merveilleux parcours d’intellectuels occidentaux convertis à l’Islam, en font partie, et constituent d’excellents modérateurs vis-à-vis d’une mondialisation déferlante et ébranlante. L’histoire qui suit est très connue, et mérite d’être revisitée et partagée. Ecoutons le héros, Yusuf.

Je suis un pasteur chrétien converti à l’Islam, et la première version de ce récit visait à fournir des explications à ceux qui ne comprenaient pas ce virage, voire insulte envers Jésus pour certains.

Je suis né dans le Midwest américain, d’une famille chrétienne très pratiquante. Mes ancêtres descendent des premiers colons et ont bâti des églises et des écoles. Nous avons déménagé à Houston en 1949, alors que j’étais écolier. J’assistais régulièrement à la messe et je fus baptisé à douze ans. Adolescent, j’ai visité les autres églises afin d’apprendre leurs enseignements. Les baptistes, méthodistes, épiscopaliens, nazaréens, catholiques, presbytériens, église du renouveau, église de Dieu, église du Christ, église de Dieu en Christ, église de l’Evangile, église agape… J’ai développé une soif insatiable pour l’Evangile. Mes recherches ne se limitèrent pas aux branches du Christianisme. J’ai étudié le Bouddhisme, Judaïsme, Hindouisme, métaphysique, croyances amérindiennes. L’Islam est la seule religion que je n’ai pas étudiée. Pourquoi ? Bonne question !

Ma famille étant à la fois religieuse et portée sur la musique, j’entrepris des études dans les deux domaines, et je finis par devenir ministre (pasteur) de la musique auprès de plusieurs églises. J’ai développé un intérêt particulier pour la musique classique et évangélique J’ai enseigné les instruments à clavier, et dès 1963, je possédais mes propres studios. Je fus même délégué à la Conférence mondiale des religions pour la paix (Nations Unies).

La trinité et les intrigues existentielles

Le mot « trinité » ne se trouve curieusement pas dans la Bible, et cela a toujours préoccupé les érudits. J’ai maintes fois cherché des explications. Pourquoi un être devient-il « trois ». Pourquoi Dieu Lui-même, qui peut tout faire, ne peut-il pas pardonner les péchés humains sans avoir à se transformer en homme, descendre sur terre et mourir sur une croix pour « racheter » les péchés du monde, tout en demeurant le Dieu qui fait tout ce qu’Il veut, à la fois dans l’univers que nous connaissons, et dans le monde invisible et inconnu. Chacun a dû se demander, au moins une fois dans sa vie : « Pourquoi ai-je été créé ? », « Qu’attend Dieu de moi ? », « Qui est Dieu, de toute façon ? », ou encore « Pourquoi croyons-nous au péché originel ? » et « Pourquoi les enfants d’Adam sont-ils forcés de vivre avec le fardeau de ses péchés et en payer le prix ? ». Mais lorsqu’on interroge une autorité religieuse, on n’obtient aucune réponse satisfaisante. Eviter les questions intrigantes ! Est-ce la bonne solution ?

Pasteurs et hommes d’affaires

Mon père était très actif au sein de l’église. Il fut ordonné pasteur en 1970. Sa femme (ma belle-mère) et lui connaissaient plusieurs télé-évangélistes et prédicateurs et ont participé avec Oral Roberts à la construction de la « Prayer Tower » en Oklahoma. Ils étaient des fidèles de Jimmy Swaggart, Jim et Tammy Fae Baker, Jerry Fallwell, John Haggi, et Pat Robertson, plus grand ennemi de l’Islam en Amérique. Au début des années 80, mon père et sa femme enregistraient des cassettes de louanges à Jésus, qu’ils distribuaient gratuitement dans les maisons de retraite, hôpitaux, et ailleurs. Nous avions la conviction de « gagner des âmes au Seigneur ». Durant de longues années, mon père et moi avons monté plusieurs affaires. Nous organisions des émissions de télévision et divers spectacles. Nous avons ouvert des magasins d’orgues et de pianos au Texas, en Oklahoma et en Floride, et nous avons gagné des millions de dollars.

Un intrus sur le chemin, convertir et sauver Mohamed

Au début de 1991, mon père entama une relation d’affaires avec un égyptien et voulut me le présenter. L’idée de côtoyer une personne venue d’Égypte me plut. Les pyramides, le Sphinx, le Nil, j’avais l’impression que j’allais trouver tout cela chez cet homme. Puis, mon père m’avertit qu’il était musulman. Terroriste ? Pirate, poseur de bombes, et qui sait encore ? Sur le coup, la perspective de rencontrer un tel mécréant me rebuta. D’ailleurs, toute personne normale aurait réagi ainsi, n’est-ce-pas ? Je n’arrivais pas à le croire. Un musulman ? Jamais de la vie ! Je rappelai à mon père toutes ces choses négatives que nous savions sur eux. On nous a bien dit que les musulmans ne croyaient pas en Dieu, qu’ils adoraient une grosse boîte noire dans le désert et qu’ils embrassaient le sol cinq fois par jour. Je ne voulais pas rencontrer ce musulman ! Mais mon père insista et m’assura qu’il était gentil. C’en était trop. Surtout que les évangélistes avec lesquels nous travaillions détestaient tous l’Islam et les musulmans. Alors pourquoi en rencontrer un ?

Puis, j’eus une idée : le convertir au Christianisme ! J’acceptai donc de le rencontrer, mais à mes conditions. J’irai à sa rencontre avec une Bible, une croix et une casquette portant l’écrit : « Jésus le Seigneur ». J’acceptai de le rencontrer un dimanche, après la messe, ma foi fraîchement renouvelée, et en bons termes avec le Seigneur. Arrivé au magasin, je demandai à mon père où était le « musulman », il pointa un homme et me dit : « Il est juste là ». J’étais confus. Cet homme ne pouvait pas être un musulman. Jamais de la vie ! Je cherchais un homme imposant avec un turban sur la tête, une longue barbe, et vêtu d’une grande robe pouvant dissimuler une épée ou une bombe. Mais cet homme n’avait ni barbe, ni même de cheveux, il était quasiment chauve. Étonnamment, il était très avenant, avec une poignée de main et un sourire chaleureux. Je ne comprenais plus. Mais cela n’importait plus. J’avais du travail à faire sur cet homme. Il avait besoin d’être sauvé et avec l’aide du Seigneur, j’allais y parvenir.

Après de brèves présentations, j’attaquai : « Croyez-vous en Dieu ? »

« Oui », répondit-il. (Bon début !) « Croyez-vous en Adam et Ève ? » « Oui ». (Très bien !)

« Et Abraham ? Vous croyez au fait qu’il a voulu sacrifier son fils pour Dieu ? » « Oui ». (De mieux en mieux !). Agréablement surpris, je lui posai alors une série d’autres questions et j’obtins la même réponse affirmative.

« Et Moïse ? Et les dix commandements ? La séparation de la Mer Rouge ? »

« Et les autres prophètes ? David, Solomon, Jean le Baptiste ? « Et la Bible ? ». « Oui ». (Super !)

Je le regardai avec affection, convaincu de pouvoir le convertir sans peine. Dernière question : « Croyez-vous en Jésus ? Qu’il était le messie envoyé par Dieu ? ». De nouveau, il répondit par l’affirmative. (Fantastique !). Eh bien, voilà qui allait être plus facile que je ne le croyais. Il était pratiquement prêt à être baptisé ; seulement, il l’ignorait. Et j’étais là pour le faire.

En ce jour de 1991, je fus choqué d’apprendre que les musulmans croyaient en la Bible. Comment cela était-il possible ? Et ce n’était pas tout, j’appris qu’ils croyaient que Jésus était un messager et prophète de Dieu, né miraculeusement. Et qu’il était le messie prédit dans la Bible, se trouvant actuellement auprès de Dieu, et devant revenir vers la fin des temps pour diriger les croyants contre « l’Antéchrist ». Je me dis qu’après tout ce temps passé à « gagner des âmes pour Jésus », convertir un musulman au Christianisme serait un couronnement.

Nous discutâmes de mon sujet préféré, la religion, et après quelques heures (c’était surtout moi qui parlais), je compris qu’il était très gentil, réservé, et un peu timide. Il m’écouta attentivement, sans m’interrompre. J’appréciais ses manières et pensais en moi-même qu’il ferait un très bon chrétien.

Mohamed rejoint la maison, mission plus facile

J’informai mon père que j’étais d’accord pour travailler avec cet homme et j’insistai pour qu’il m’accompagne lors de mes voyages. Jour après jour, nous roulions donc ensemble en voiture et discutions de sujets relatifs aux diverses croyances. En route, j’allumais la radio lors d’émissions religieuses afin que ce « pauvre » homme reçoive le message de vérité. Nous discutions du concept de Dieu, du sens de la vie, du but de la création, des prophètes et de leur mission, et de la façon dont Dieu révèle Ses volontés à l’humanité. Nous discutions également de nos vies personnelles, et échangions des opinions sur divers sujets.

Un jour, j’appris que Mohamed allait déménager pour s’installer dans la mosquée pour quelque temps. Je demandai à mon père si nous pouvions l’inviter à venir habiter temporairement chez nous, dans notre grande maison de la campagne. Il pourrait participer aux tâches et aux dépenses, et serait tout près pour les voyages. Mon père accepta et Mohamed vint s’installer chez nous.

Je continuais mes activités avec mes compagnons de prêche et mes amis évangélistes. L’un d’eux aimait se déplacer avec une énorme croix, trop grande pour une voiture. Il la portait sur ses épaules, en laissant traîner au sol la partie inférieure, ou alors marchait au bord des autoroutes en la traînant derrière lui. Des conducteurs s’arrêtaient pour lui offrir assistance, et il en profitait pour leur distribuer des dépliants faisant la promotion du Christianisme.

Un prêtre catholique en renfort

Un jour, cet ami qui aimait porter l’énorme croix, fut victime d’une crise cardiaque et fut hospitalisé. Je lui rendais régulièrement visite en compagnie de Mohamed, que j’avais toujours espoir de convertir. Mon ami n’était pas intéressé et ne voulait rien savoir sur l’Islam. Un jour, un homme qui partageait sa chambre d’hôpital entra en fauteuil roulant. Je lui demandai son nom, il me répondit que ce n’était pas important, et lorsque je lui demandai d’où il venait, il me dit qu’il venait de la planète Jupiter. Je me demandai alors si je me trouvais bien dans le service cardiologie ou en psychiatrie. Cet homme seul et déprimé, avait visiblement besoin d’aide. Je me mis à lui parler du Seigneur, en lisant des passages de l’Ancien Testament. Après m’avoir écouté, il me regarda et s’excusa de son attitude, en ajoutant qu’il avait récemment eu de gros problèmes. Puis il me dit qu’il avait quelque chose à me confier. Je lui répondis que je n’étais pas un prêtre catholique et que je n’acceptais pas les confessions. Il me dit qu’il le savait et ajouta : « En fait, je suis un prêtre catholique ». Quoi ! J’étais sous le choc ! Je venais d’essayer de prêcher le Christianisme à un prêtre ! Que se passait-il donc dans cet hôpital ?

Le prêtre me raconta qu’il avait été missionnaire pour l’Église durant douze ans. Il avait travaillé en Amérique centrale et en Amérique du Sud. A sa sortie de l’hôpital, il chercha un endroit pour sa convalescence et plutôt que de le laisser aller s’installer chez une famille catholique, je dis à mon père que nous devions l’inviter chez nous, dans notre grande maison, avec notre famille et Mohamed. Tout le monde était d’accord, et il accepta de s’installer chez nous. Durant le trajet, je parlai au prêtre de l’Islam, et à ma grande surprise, il était très renseigné, et partagea avec moi d’autres informations sur cette religion. Je fus encore plus surpris quand il m’apprit que les prêtres catholiques étudient l’Islam et certains font des doctorats sur ce sujet. Très instructif, mais d’autres surprises m’attendaient.

Différentes versions de la Bible et Coran unique

Après l’installation du prêtre, nous prîmes l’habitude de nous rassembler chaque soir pour discuter de religion. Mohamed n’avait pas le choix, mais ne semblait pas préoccupé par le déséquilibre des forces. Mon père apportait sa Bible version King James, j’avais ma version révisée, tandis que mon épouse en apportait une autre. La Bible catholique du prêtre contient sept livres de plus que la Bible protestante. En fait, nous passions plus de temps à débattre de la meilleure version de la Bible qu’à tenter de convertir Mohamed au Christianisme. Un jour je lui demandai le nombre de versions du Coran. Il me répondit qu’il n’y avait qu’un seul Coran et qu’il n’avait jamais été modifié. Il me dit également que le Coran avait été mémorisé en entier par des centaines de milliers de musulmans, à travers le monde, et qu’à travers les siècles, depuis sa révélation, des millions de personnes l’avaient mémorisé en entier et l’avaient enseigné à d’autres, qui l’avaient mémorisé à leur tour. Une telle chose me paraissait impossible. Après tout, les langues d’origine de la Bible étaient toutes devenues des langues mortes depuis des siècles, et les documents originaux avaient disparu depuis très longtemps. Comment était-ce donc possible qu’il fût si facile de préserver un livre et de le réciter en entier, par cœur ?

Un jour, le prêtre demanda à Mohamed s’il pouvait l’accompagner à la mosquée pour voir comment c’était à l’intérieur. Nous étions impatients de connaitre ses impressions. A son retour, il nous dit que les fidèles n’ont rien fait de particulier. Les gens sont venus, ont prié et sont repartis. Je dis : « Quoi ?  Ils sont repartis ? Sans aucun sermon ni chants ? » Il confirma. Quelques jours plus tard, le prêtre partit de nouveau avec Mohamed à la mosquée. Mais cette fois-ci ils restèrent longtemps. Après le coucher du soleil, nous commençâmes à nous inquiéter. Ils revinrent enfin, et lorsqu’ils entrèrent, je reconnus immédiatement Mohamed ; mais qui était cet homme avec lui ? Il portait une grande robe blanche et un petit chapeau blanc. Un instant ! C’était le prêtre ! Je lui dis : « Pete, es-tu devenu musulman ? » Il me répondit qu’il avait embrassé l’Islam. LE PRÊTRE DEVENU MUSULMAN ! À quoi d’autre devais-je encore m’attendre !

Traitement par chocs, et dissipation des doutes et intrigues

Je montai à l’étage pour réfléchir et informai mon épouse. Elle me dit alors que l’Islam était la vérité, qu’elle avait l’intention de devenir musulmane, et qu’elle serait obligée de demander le divorce ! Terrible réplique sismique ! Je redescendis vite en bas, je réveillai Mohamed et le sommai de me suivre à l’extérieur. Nous avons marché et discuté toute la nuit. Et quelle nuit ! Et lorsqu’il s’excusa pour aller faire la prière du Fajr (l’aube), la vérité s’était enfin manifestée et je devais prendre une décision. Je ressortis et je trouvai une vieille planche de contre-plaqué sur laquelle je me prosternai, face à la Mecque, comme le font les musulmans cinq fois par jour. Dans cette position, le front sur la planche, je me mis à prier : « Ô Dieu ! Si Tu m’entends, guide-moi, guide-moi ! » Après quelques minutes, je relevai la tête et je remarquai quelque chose. Non, je ne vis ni oiseaux, ni anges dans le ciel, je n’entendis ni voix, ni musique, pas plus que je ne vis de lumière aveuglante ou d’éclairs. La chose que je remarquai, c’était un changement au plus profond de moi-même. Je pris clairement conscience qu’il était temps pour moi de cesser de me mentir, fuir l’évidence, et d’être sournois. Il était temps pour moi de devenir un homme droit. Et je savais ce que je devais faire. Je montai à l’étage et pris une douche avec l’intention d’effacer l’ancien « moi », cet homme pécheur que j’étais. Et j’avais vraiment l’impression d’entrer dans une nouvelle vie, une vie fondée sur la vérité et sur des signes irréfutables. Vers onze heures, ce matin-là, debout devant deux témoins, c’est-à-dire l’ex-père Peter Jacob, et Mohamed Abdel Rahman, je prononçai la « Shahadah ». Je dis : « J’atteste qu’il n’existe aucune divinité en dehors de Dieu, le Tout-Puissant, et qu’Il n’a aucun associé, et j’atteste que Mohamed est Son serviteur et Son messager. » Quelques minutes plus tard, ce fut au tour de mon épouse de m’imiter.

Toute une famille guidée par le Miséricordieux

Mon père a pris du temps pour réfléchir et prononça la Shahadah quelques mois plus tard. Son engagement était sincère et il commença immédiatement à faire ses prières avec moi dans la mosquée locale. Nous retirâmes nos enfants de l’école chrétienne et les inscrivîmes dans une école musulmane. Aujourd’hui, dix ans plus tard, ils ont mémorisé une bonne partie du Coran et des enseignements de l’Islam. L’épouse de mon père a fini par reconnaître que Jésus ne pouvait être le fils de Dieu, qu’il avait été un grand prophète, mais pas un dieu. Elle mourut quelques mois plus tard. Puisse Dieu accepter sa déclaration de foi.

Pensez-y donc : un prêtre catholique, un ministre protestant et prêcheur de l’Evangile, son épouse, un pasteur ayant passé une partie de sa vie à construire des écoles chrétiennes ; puis les enfants, et même une arrière-grand-mère, tous convertis à l’Islam ! Pour connaître et adorer leur Créateur comme il se doit. Ce n’est que par Sa miséricorde que nous avons été orientés vers la vérité, et réalisé que l’Islam était l’unique voie à suivre. Il a retiré ce qui bouchait nos oreilles, aveuglait nos yeux, ce qui recouvrait nos cœurs et nous empêchait de comprendre la vérité. Il nous a guidés.

Je continue de débattre avec des chrétiens des questions existentielles et les preuves dissipant les doutes et étayant la voie de la vérité, afin de mieux comprendre nos origines et le but de notre existence, ainsi que la vie ultérieure. Mon histoire est devenue parmi les plus populaires sur les « Prêtres et pasteurs qui se convertissent à l’Islam ». Que la paix soit sur vous et puissiez-vous être guidé par Dieu, le Tout-Puissant, notre Créateur, qui administre l’univers tout entier.

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Ramadhan Kareem

 

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