« Il est pénible de chercher une vérité objective devant des erreurs subjectives »
Benallal Mohamed
Des erreurs politiques des erreurs économiques des erreurs de conceptions des erreurs sociales, des erreurs environnementales, des erreurs….. , encore des erreurs, partout des erreurs ; ces erreurs sont partout parce que l’erreur est humaine dit-on. Ces erreurs qui nous rongent notre quotidien viennent de l’action de penser. La façon de penser faux c’est-à-dire se tromper. Regardons un peu notre quotidien ou plutôt revisitons le, mais de plus près. Le constat est clair, net et précis tous les défauts au niveau de ceux composent, animent et font de l’échange dans une société donnée et plus précisément comme la nôtre où il y a les erreurs en « pagaille » qui ornent et font notre quotidien sans que personne ( décideurs) n’ose y faire face. Ces erreurs trouvent le champ propice( dictature- « maaza oula tarat »- impunité…) pour se multiplier. Un champs constitué par le non-respect de normes, de valeurs, de critères, de la conformité, des prix ,de l’appréciation, de la balance, de la mesure ,du diplôme, de l’importance, de la référence, de l’estimation, de la force, de l’utilité, de la nécessité, du mérite ,du sens et de la vertu et même de la signification. Un champ d’ hyènes, de médiocres d’ incompétents, des…..
La pensée se distingue par ses deux propres fonctions et principes mathématiques : la déduction et l’induction dans la cadre de la logique des choses pour ne pas dire la logique scientifique. Ce sont les deux uniques démarches de la pensée du « lambda » de la cité sociétale pour expliquer et justifier les erreurs dites subjectives et objectifs. Par conséquent, le fait de ne pas bien penser ; la déduction est simple on ne pense pas assez ou plutôt on se trompe de faire quelque chose selon des références de bonnes valeurs. Penser juste et bien c’est respecter des normes admises par tout le monde et par la nature des choses, c’est-à-dire une pensée qui se réfère aux règles de la logique (règles intuitives, inconscientes, heuristiques…..).
Les règles de la logique (jugement et raisonnement) peuvent être shunté par des mauvaises habitudes sociales, du laxisme des responsables, du « laisser-faire laisser-aller » du « j’men foutisme », du« c’est lui ce n’est pas moi », « c’est sale mais je ne respecte pas la propreté », « c’est à moi,… c’est pour moi. Et tant pis pour lui.. » après moi le déluge… ……. Mais aussi avantagé par la mauvaise situation économique (chômage- dégradation du niveau de vie-inflation- dévalorisation de la monnaie….), la mauvaise politique suivie dans les divers secteurs… le manque de culture et surtout la consommation pendant la saison sportive d’un nouveau opium qui est la « Barca et Co » ! Delà découlent tous les maux et les dérives de la société par le fait que nous nous trompons tous les jours parce qu’il n’existe pas de rationalisme pour meubler nos journées avec art et bonheur dans le bien et le bien etre et éviter d’essayer de ne pas se tromper et savoir corrigé la petite faute sociale.
La bonne et meilleurs attitude personnel du petit « lambda » consiste dans la mesure du possible d’ être conscients dans ses actes qui animent la journée que le Bon Dieu fait, car penser sans point de vue est anormal les algériens disent que « c’est normal » , tout en évitant de penser autrement qui risquent de polluer inutilement l’environnement sociétal.
Enfin pour terminer cette chronique et à travers cet éventail qui se rapporte à notre société par des « lambadas » interposés, les exemples, des faits accomplis, des images, des modèles, des chefs, des décideurs, des domestiques, des employeurs, des maîtres, des patrons, des propriétaires, des singes, des aperçus, des spécimens et enfin des « lambadas »de nos cités ……ceci nous poussent et nous invitent en tant « qu’ intellects » à penser peut être mieux, bien mais aussi à penser plus dans un contexte propice.
Pour finir une bonne fois pour toute, Il est enfin important, de mettre en place dans chaque cité selon sa grandeur un conseil en stratégie qui permet d’aider à développer de nouvelles visions, de nouveaux services, des modèles et schémas pour mieux préparer l’avenir pour sortir de ce marasme qui : « c’est normal » alors qu’en fait ce n’est normal……
BENALLAL MOHAMED
marre de la mal vie partout en algérie, et vous avez vu ces criminels qui conduisent ses bus? mon dieu.