Je ne vois pas ou est le problème. Ce doyen ne fait que faire son travail pour lequel il a été nommé.
– Il est responsable de ce qui se passe dans sa Faculté et il doit travailler par anticipation. Suppose que son supérieur hiérarchique ou la SM (Nouvelle version …) s’aperçoit de cette thèse anti-nationale soutenue au sein de « sa » Faculté, il aura droit à un rapport malveillant, ce qui compliquera sa tache d’administrateur sans compter que cela gâchera surement sa carrière.
– Et puis quant un jury se trompe, doit-il laisser passer l’erreur? Ce n’est pas de la censure mais du simple bon sens.
Bref en tant que premier responsable, il se doit de préserver l’institution de « toute atteinte à sa réputation et tentative de déstabilisation », meme si certains le traiteront de petit chien docile qui ne songe qu’à sa carrière.
Oui, il fait son « travail » d’universitaire-larbin des srabess comme hélas beaucoup d’universitaires qui aiment exhiber leurs titres pompeux pour épater le « ghachi » mais qui n’ont pas un brin de dignité et que j’appelle personnellement l’ABRUTIGENTSIA.
Bonjour
Est-ce sous prétexte de veiller sur la sureté de l’état, on a le droit de censurer ou d’espionner, ni le droit civil ni la jurisprudence islamique ne le permettent (constitution oblige)?
Si ce recteur n’a rien à se reprocher et pense que le gouvernement non plus, alors qu’il laissent lui et le gouvernement, les universitaires travailler en toute liberté.
L’université appartient aux étudiants et seulement aux étudiants car c’est une institution d’instruction de toutes les générations à venir. Ce n’est la propriété de personne.
Qualifié une fois pour toutes d’« écrivain progressiste », Kamel Daoud est assuré de voir son roman Houris occuper une place médiatique de choix en cette rentrée, quelle...
Ou ais rais el houkouma ki parle.?Arreter de jouer avec les algeriennes et aigeriens.
Je ne vois pas ou est le problème. Ce doyen ne fait que faire son travail pour lequel il a été nommé.
– Il est responsable de ce qui se passe dans sa Faculté et il doit travailler par anticipation. Suppose que son supérieur hiérarchique ou la SM (Nouvelle version …) s’aperçoit de cette thèse anti-nationale soutenue au sein de « sa » Faculté, il aura droit à un rapport malveillant, ce qui compliquera sa tache d’administrateur sans compter que cela gâchera surement sa carrière.
– Et puis quant un jury se trompe, doit-il laisser passer l’erreur? Ce n’est pas de la censure mais du simple bon sens.
Bref en tant que premier responsable, il se doit de préserver l’institution de « toute atteinte à sa réputation et tentative de déstabilisation », meme si certains le traiteront de petit chien docile qui ne songe qu’à sa carrière.
Oui, il fait son « travail » d’universitaire-larbin des srabess comme hélas beaucoup d’universitaires qui aiment exhiber leurs titres pompeux pour épater le « ghachi » mais qui n’ont pas un brin de dignité et que j’appelle personnellement l’ABRUTIGENTSIA.
Bonjour
Est-ce sous prétexte de veiller sur la sureté de l’état, on a le droit de censurer ou d’espionner, ni le droit civil ni la jurisprudence islamique ne le permettent (constitution oblige)?
Si ce recteur n’a rien à se reprocher et pense que le gouvernement non plus, alors qu’il laissent lui et le gouvernement, les universitaires travailler en toute liberté.
L’université appartient aux étudiants et seulement aux étudiants car c’est une institution d’instruction de toutes les générations à venir. Ce n’est la propriété de personne.