Les Algériens, seuls sur le chemin de la liberté… comme en novembre 54

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https://www.huffpostmaghreb.com/
29/11/2019

  • Nadjib Belhimer
Demonstrators carry national flags and gesture during a protest rejecting the December presidential election...
Demonstrators carry national flags and gesture during a protest rejecting the December presidential election in Algiers, Algeria November 22, 2019. REUTERS/Ramzi Boudina

Le chef d’état-major de l’armée a précédé l’adoption, jeudi, de la résolution du parlement européen sur l’Algérie en assurant que l’Algérie est indépendante et souveraine dans ses décisions et qu’elle n’acceptait aucune ingérence ou diktat. De nombreux politiciens se sont empressés de dire leur refus de l’ingérence étrangère. Ceux qui s’opposent au pouvoir, refusent les  élections et dénoncent la politique de harcèlement et les campagnes d’arrestations n’ont pas tardé non plus à exprimer leur rejet des ingérences étrangères sous toutes ses formes. 

La résolution du parlement européen et les réactions qu’elles suscitent au niveau local soulèvent des questions sérieuses au sujet de ce consensus. Existe-t-il réellement une ingérence étrangère ou des indices réels que cela pourrait se produire?

Au cours des dernières semaines s’est posée la question de l’absence d’intérêt international pour ce qui se passe en Algérie depuis le 22 février. L’ancien ambassadeur américain à Alger, David Pearce, s’est étonné dans un tweet du manque d’intérêt des médias internationaux alors que l’Algérie connaît une situation sans précédent depuis 38 semaines. Pourtant, faisait-il valoir, il  s’agit plus grand pays d’Afrique et du second en nombre d’habitants dans le monde arabe. Quelques jours après le tweet de Pearce, le Financial Times a publié un article dans le même sens pour évoquer le manque d’intérêt des médias internationaux pour l’Algérie.

Ici, en Algérie, certains ont estimé que cet absence d’intérêt relevait d’une complicité internationale avec le pouvoir et un indice que celui-ci est encouragé à aller vers l’organisation des élections malgré la persistance du refus populaire. 

Pourquoi le lien avec les hydrocarbures ne tient pas la route

Certains établissent un lien entre ce soutien extérieur présumé au plan du pouvoir et l’adoption de la loi sur les hydrocarbures et aux avantages qu’elle offre aux compagnies pétrolières étrangères. Cette affirmation cherche une explication pragmatique à l’attitude des américains et des européens à l’égard de ce qui se passe en Algérie.  Sauf que l’état du secteur des hydrocarbure en Algérie (recul des capacités de production, absence de découvertes de nouveaux gisements et accroissement de la consommation intérieure) et les bouleversements qu’il a connu au plan mondial (Les Etats-Unis sont devenus un pays exportateur après avoir été le plus grand importateurs, l’avènement du gaz et du pétrole de schiste et la concurrence féroce entre producteurs pour fournir l’Europe en gaz) affaiblissent cette thèse. Il faut donc chercher ailleurs les véritables raisons de l’absence d’entrain des Etats-Unis et de l’Europe à se prononcer publiquement sur les affaires algériennes.

La lecture de la position américaine doit être nécessairement appréhendée dans le cadre des orientations de la politique étrangère américaines au cours des dernières années. Une politique marquée par une tendance au redéploiement dans maintes région dans le monde. 

Priorité à la stabilité

Depuis le mandat d’Obama, on parle publiquement d’un recul du rôle américain au Moyen-Orient (la définition officielle du département d’Etat américain intègre l’Algérie dans le Moyen-Orient, soit dans le détail de la dénomination, “Middle East and North Africa”, MENA). L’administration Trump a confirmé cette orientation avec le retrait des forces américaines de Syrie et, avant cela, d’Irak. Le retour de certaines forces en raison de situations particulières ne constitue pas une remise en cause de cette tendance générale. Mieux, Donald Trump a tenu à donner la priorité aux questions économiques et commerce en décidant du retrait des Etats-Unis de l’Accord de libre-échange transpacifique (TPP) et en imposant une renégociation de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA). Des démarches sont en cours pour réduire de moitié au cours des trois prochaines années les forces américaines (près de 1200 soldats) présentes en Afrique. Les américains comptent s’appuyer davantage sur les drones dans la conduite d’opérations militaires dans de nombreuses régions du continent.

Du point de vue américain, la lutte contre le terrorisme demeure une priorité de la politique étrangère, en lien direct avec la sécurité nationale. Les sources de menaces, pour les américains se trouvent en Afrique orientale et occidentale et en Libye. La présence militaire US au Niger, et notamment la base des drones à Agadès, montre un déploiement direct dans les régions qui ont un lien direct avec la sécurité de l’Algérie, la Libye et le Mali précisément.  De quoi mettre fin à la controverse traditionnelle sur la présence militaire américaine et la nécessité de construire des bases militaires classiques en Afrique, au sujet desquelles l’Algérie affichait une certaine sensibilité, selon le discours officiel et les articles des médias locaux. 

 En revanche, l’administration ne montre aucun enthousiasme à changer les régimes dans les pays de la région. Il est clair que les démarches visant à répandre la “démocratie” et à généraliser le modèle américain se sont estompées depuis des années. Cela s’est confirmé avec l’administration Trump. Des analystes américains expliquent cette tendance par le fait que la démocratie peut être la cause de l’émergence de régimes encore plus hostiles aux USA. Ils citent pour preuve des exemples du Printemps arabe. En outre, les risques d’instabilité peuvent accentuer les défis sécuritaires des Etats-Unis. La stabilité est de ce fait une priorité. 

Sur l’Algérie, le “wait and see”

Dans le cas algérien, le caractère pacifique des manifestations et l’absence d’alternatives claires rassurantes au régime actuel font partie des motifs qui poussent les américains à adopter une politique du wait and see.  Mais cela ne signifie pas pour autant un soutien franc au pouvoir en Algérie d’autant que les élections, dans les conditions actuelles, sont porteuses de grands risques. Les américains pourraient changer de position en fonction des conséquences éventuelles de cette aventure. 

La position européenne n’est pas très différente. La stabilité constitue un intérêt vital pour l’Union Européenne (plus précisément la France) et elle n’est pas pressée d’adopter une position qui pourrait passer comme étant favorable à un changement de régime en Algérie. Les élections constituent un test de la capacité du pouvoir à maîtriser la situation. La réaction de la rue sera la base à partir de laquelle pourrait s’élaborer une position claire et franche sur ce qui se passe en Algérie. 

Le Hirak a neutralisé les cartes de l’ingérence et de la violence

Dans ce contexte, la résolution du parlement européen n’aura aucun impact à moyen terme. Elle restera dans son cadre politique, comme une expression des forces qui dominent dans ce parlement et qui tentent davantage de se donner une posture morale que d’oeuvrer à exercer une influence sur les équilibres existants. 

En Algérie, la résolution sera traitée avec beaucoup d’extravagances médiatiques et politiques pour affirmer qu’il existe un complot. Sauf qu’une telle démarche souffre d’un point faible mortel: les opposants au pouvoir (ceux qui sont comptabilisés sur la révolution pacifique précisément) n’ont jamais demandé une solidarité extérieure; et ils n’ont pas fait  du facteur “pression internationale” un instrument de leur combat pacifique pour le changement de régime. La révolution pacifique a réussi à faire tomber cette carte dès le début, tout comme elle a tenu à faire tomber la carte de la violence. Mieux, la suspicion de quête du soutien étranger concerne le pouvoir d’abord notamment avec les tournées de Lakhdar Brahimi et Ramtane Lamamra au tout début de la révolution pacifique, ou avec les propos de Bensalah à Poutine, à Sotchi, il y a de cela cinq semaines. 

Les Algériens ont choisi de prendre les choses par leurs propres mains, de lutter pour la liberté et l’Etat de droit loin des aventures des appels à l’ingérence de l’étranger. Et il est probable qu’ils marcheront seuls, sur un chemin long et difficile, exactement comme ils l’ont fait un certain novembre 1954.

5 Commentaires

  1. LE POUVOIR L’ARMEE AINSI LES 5 CANDIDATS ACUSENT L’UE D’INGERENCE CE N’EAST PAS L’UNION EUROPEEN QUI ARRETENT ET EMPRISONE DES MANIFESTANTS ET JOURNALISTES SEULEMENT ILS PROTESTENT
    CE N’EST L’UNION EUROPEEN QUI A PILLER LE PAYS DEPUIS 1962 ET DEWTOURNER DES MILLIARDS DE DOLLARS A L’ETRANGER LAISSANT LA MAJORITE DU PEUPLE SURTOUT DANS LA CAMPAGNE ET MONTAGNE ET MEME DANS LES VILLES DANS LA MISERE CERTAINS SANS EAU SANS ELECTRICITE SANS ROUTES ET SANS TOIT SUR EUX CERTAINS VIVENT DANS DES GOURBIS DEPUIS L’OCUPANTION FRANCAISE.UN POUVOIR EGOISTE QUI NE VEUT PLUS DONNER OU PARTAGER LA RICHESSE DU PAYS PARMI LE PEUPLE UN POUVOIR QUI VEUT RESTER GOUVERNER SANS PARTAGE AVEC SON FLN
    ARRETEZ VOS MENSONGES LE PEUPLE EST MALADE DE VOS PROMESSES QUI N’ONT JAMAIS REALISER .
    LE PEUPLE NE RECULE PAS CETTE FOIS CI JUSQU,A CE FLN DISPARETRA COMPLETEMENT DU REGIME

  2. Pour ou contre le 12/12

    1
    ماذا سيحدث في حال إلغاء إنتخابات 12 ديسمبر ؟

    https://www.youtube.com/watch?v=fZzW30Kodts

    2
    ما سيحدث إذا لم تجر انتخابات الرئاسة الجزائرية في موعدها

    https://www.youtube.com/watch?v=jvpCCslIoC0

    2
    ماذا يحدث إذا تم تعطيل الإنتخابات؟

    https://www.youtube.com/watch?v=f2Nz4XxC9Mc

    3
    Certains pensent à boycotter et prendre البطي

    https://www.youtube.com/watch?v=irwJAewtvj4

    D’autres pensent à الغاء الانتخابات

    https://www.youtube.com/watch?v=OnSYdhJgCX8

    Enfin

    https://www.youtube.com/watch?v=biKeNSRFzKs

  3. PROBABLEMENT LE 13/12/2019, LA ISSABA DE GAID SALAH VA IMPOSER UN AUTRE DICTATEUR…CE QUI VA AUGMENTER LA DÉTERMINATION DU PEUPLE POUR ACQUÉRIR SA LIBERTÉ
    ? ? ? —— ? ? ?
    PEUVENT-ILS METTRE 40 MILLIONS D’ALGÉRIENS EN PRISON ??? IMPOSSIBLE, CAR L’ALGÉRIE N’EXISTERA PLUS ET LA ISSABA NON PLUS ! !
    ————————————
    L’HISTOIRE RETIENDRA LA BRAVOURE ET le SACRIFICE DU PEUPLE. MAIS AUSSI L’INDIFFÉRENCE OU COMPLICITÉ DE LA POLICE, DES GENDARMES ET MILITAIRES.
    ———————————–
    POUR LA LIBERTÉ, LES MILLIONS DE BRAVES CITOYENS DU HIRAK N’ONT PAS PEUR DE SE RETROUVER EN PRISON, MAIS LES GENDARMES, POLICIERS, MILITAIRES ON EN LA PEUR AU VENTRE !!!
    PEUT-ON ALORS DIRE QUE L’ALGÉRIE POSSÈDE UNE POLICE, GENDARMERIE ET ARMÉE FORTES ET PRÊTE À SE SACRIFIER POUR SON PAYS ???!!!! SI NON, ALORS IL Y A PROBLÈME !!
    ———————————–
    SANS LA PASSIVITÉ ET L’INDIFFÉRENCE DE LA POLICE ET DES GENDARMES À L’ÉGARD DU PEUPLE ALGÉRIEN…LA ISSABA SERAIT DÉJÀ À EL HARRACH.

    L’ALGÉRIE, SES INSTITUTIONS, SON PEUPLE SONT OTAGE DE LA ISSABA DE GAID SALAH_BOUTEFLIKA

    * * * * *
    SILMYA SILMYA MATALIBNA CHARIYA JUSQU’À L’INDÉPENDANCE INCHALLAH
    AVEC LA SILMYA LE HIRAK IRRA AUSSI LOIN ET TIENDRA AUSSI LONG QU’IL FAUDRA POUR LA LIBERTÉ.

  4. L’auteur nous dit que « le lien avec les hydrocarbures ne tient pas la route ».
    Il écrit : « Il faut donc chercher ailleurs les véritables raisons de l’absence d’entrain des Etats-Unis et de l’Europe à se prononcer publiquement sur les affaires algériennes »

    Le peuple algérien a mille raisons de s’inscrire en faux contre cette conclusion trop hâtive.
    Les derniers masques cachant l’emprise US sur la gouvernance algérienne sont tombés avec la nomination d’Ould Kaddour à la tête de Sonatrach. Par la suite, le parlement a entériné une loi qui a privatisé l’ensemble de nos réserves d’hydrocarbures. C’est la confirmation qu’il n’existe plus d’institutions en mesure de défendre les intérêts nationaux. Nos lois sont conçues et rédigées par Washington. Nous n’existons plus en tant qu’Etat mais le peuple ne le sait pas encore. Il faut être aveugle pour ne pas voir le pillage du pays sous toutes ses formes et les œuvres de sabotage.

    Les US et leurs alliés n’ont pas à se prononcer sur les affaires algériennes, ils gèrent l’Algérie à travers des exécutants serviles, souvent incultes mais bien rémunérés.
    Les masques sont tombés. Il est devenu clair, pour les parrains étrangers, que la feuille de route initiale n’est plus applicable et qu’un passage en force, avec violence si nécessaire, est devenu incontournable. Terreur, provocation, humiliation et propagande sont devenues les outils préférés d’une cabale dont les tentacules ont investi massivement tous les moyens modernes d’endoctrinement et de contrôle de l’opinion publique. Les lois sont bafouées quotidiennement par un appareil judiciaire majoritairement à la botte de l’exécutif. Les postes sont attribués à des personnes sans mérites, voire même à des repris de justice, une autre forme de provocation pour humilier les citoyens. Qu’ils soient artistes, journalistes, bloggeurs, écrivains, civils ou militaires, tous ceux qui lèvent la tête et rejettent le discours officiel sont embastillés sans jugement.

    L’auteur fait une autre erreur de taille en déclarant que la loi sur les hydrocarbures n’est pas un enjeu vu « l’état du secteur des hydrocarbures en Algérie (recul des capacités de production, absence de découvertes de nouveaux gisements et accroissement de la consommation intérieure) et les bouleversements au plan mondial ».
    L’Algérie est classée au 3ème rang mondial pour ses réserves d’hydrocarbures non conventionnels et ceux qui complotent contre notre pays depuis plus de trente ans ont des objectifs géostratégiques de long terme. Les USA visent à (1) desserrer l’étau russe en matière de fourniture de gaz à l’Europe et (2) à relancer le fameux projet de gazoduc transsaharien (cher à Chakib Khelil) qui va remonter vers l’Europe les nouvelles découvertes africaines de gaz. La France en tant qu’ancien colonisateur veut reconquérir sa part du gâteau.

    De nombreux analystes algériens considèrent qu’il existe un pouvoir profond non identifié qui dirige le pays. Partant de cette hypothèse, ils en déduisent que, par exemple, la « Issaba » ne peut pas se tirer une balle dans la tête et qu’elle devra prendre un certain nombre de mesures logiques. C’est une analyse fausse. Il n’y a aucun pouvoir localisé en Algérie ! Il n’y a que des exécutants de différents grades avec des ordres de mission. Ceux qui maintiennent l’invariance des grands axes de la feuille de route US sont peu nombreux et intouchables. On citera Chakib Khelil, Bouteflika et Ould Kaddour. Ils ont plusieurs nationalités. Leurs biens sont à l’étranger et leurs familles ne vivent pas en Algérie. Tous les autres- ils sont des milliers- sont rémunérés par la corruption et n’ont aucune idée du complot en préparation. Ce sont des moins que rien manipulés par « les traitres ceux qui savent ».
    Seule notre jeunesse a compris les enjeux. Beaucoup croupissent dans les prisons.
    Des députés européens n’ayant pas bonne conscience ont fait un geste pour tenter les faire libérer et arrêter les arrestations des jeunes pour délit d’opinion. Cette sortie nous a permis de débusquer quelques renards qui se faisaient passer pour des lièvres car on leur a demandé d’ôter leur masque. Même l’UGTA a été mobilisée pour justifier les arrestations illégales.

    La mission des traitres qui exécutent la feuille de route est pratiquement achevée. Après les élections, le nouveau gouvernement achètera la paix sociale pour encore deux à cinq ans, jusqu’à l’endettement profond de l’Algérie. Que restera-t-il de l’Algérie dans 3 à 5 ans après l’épuisement des réserves de change et le transfert des réserves d’hydrocarbures à des parrains étrangers ? Un pays avec un peuple docile qui accepte les conditions du FMI (thèses de Chakib Khelil) ou un pays livré au pillage et à une guerre civile qui justifiera l’intervention militaire des nations de l’OTAN qui ont déjà pris position autour de nos frontières (Tunisie, Libye, Tchad, Mali, Maroc..).
    L’Algérie ne pourra échapper à son sort funeste que si on cesse de mentir aux citoyens. Le peuple algérien abandonné par ses élites et trahi par les médias est comparable aujourd’hui à un troupeau de moutons qu’on amène à l’abattoir. Son instinct de survie le pousse à sortir dans la rue pour essayer de se faire entendre et repousser le mauvais sort. Mais, personne ne lui dit ce qui se passe réellement et surtout ce qui l’attend. Ce qui l’attend, c’est un réveil très douloureux dans 3 ans qui se terminera par une guerre civile qui va justifier l’intervention des troupes étrangères déjà massées à nos frontières. La sécurisation militaire des futures installations d’EXXON, BP et TOTAL est l’objectif final de la feuille de route confiée aux traîtres qui nous dirigent depuis 30 ans. C’est l’objectif du GMEI.
    En attendant, on demande au peuple de continuer à dormir car la feuille de route nécessite encore 3 à 5 ans pour finaliser le complot qui va détruire la nation algérienne.
    A tas Mazal el hal. Le Hirak avec ses sorties stériles participe à la feuille de route.
    Dans 3 ans, il se réveillera mais ce sera trop tard et les grands coupables ne seront pas là pour rendre des comptes.

    Paroles de la chanson Mazal el Hal de Ait Menguellet
    « Dors, dors, Il n’est pas encore temps Ce n’est pas ton temps de parole
    Toi qui as perdu le sommeil C’est dans notre pays que tu le retrouveras
    Nous l’aimons il nous est bénéfique
    Qui veut se réveiller Nous le convions à dormir Et lui disons: Dors, Dors, Il n’est pas encore temps../..:
    .
    Dors, dors, il n’est pas encore temps Ce n’est pas ton tour de parole, Toi qui as perdu le sommeil…
    Plane vers Damas, Doux ramier, je te prie, Ramène le Talisman du sommeil,
    Qui s’éveille, le trouvera à ses côtés, A sa seule vue tes yeux se referment. Dors, dors, il n’est pas encore temps, Ce n’est pas ton tour de parole, Toi qui a perdu le sommeil…
    Commence du fin fond de l’Egypte, Oiseau porte leur mon message. Dis leur : les caisses d’opium (de cocaine ?) que vous nous avez envoyées, Nous les avons reçues.

    Dis leur : bannissez toute inquiétude, Ceux que vous craignez sont tous endormis. Dors, dors, il n’est pas encore temps, Ce n’est pas ton tour de parole… Ils te bercent jusqu’à t’endormir, Te couvrent, Tout ce que tu désires existe. En rêve tout est facile. Refermes tes yeux et rendors toi.

  5. J’avais écrit « Les USA visent à desserrer l’étau russe en matière de fourniture de gaz à l’Europe » avant l’annonce des sanctions contre l’UE en rapport avec le gazoduc Northstream

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