بيان
أوقفوا الحرب المعلنة على الشعب الجزائري!!!
يتعرض الجزائريون منذ عدة أسابيع الى أخطر فصول القمع و التصعيد التي تستهدف حقوقهم وحرياتهم. ويهدف هذا العدوان الأمني والقضائي لمنع المواطنين من التعبير بحرية عن آراءهم والمطالبة بحقهم في التظاهر السلمي والاضراب والتعبير في وسائل الإعلام وشبكات التواصل الاجتماعي بل وحرمانهم من الوجود كمواطنين. وقد اتخذت وضعية الحال هذه منحى حرب مفتوحة على الشعب الجزائري لانها لم صارت تستهدف يوميا جميع الفئات الاجتماعية عبر كامل مناطق البلاد .
و من خلال هذا العدوان الصارخ، يلجأ النظام إلى إفتعال مؤامرات إرهابية لتبرير العودة إلى أبشع ممارسات التعسف من مداهمات و اختطاف وتفتيش واخفاء قسري.لقد اصبح التعذيب(والاغتصاب) و كأنهما عاديان أما منحنى عنف أجهزة الامن فاضحى في تصاعد و اتساع مستمرين.
لاشيء يمكنه تبرير ان تعامل حكومة النظام القائم المواطنين بهذه الطريقة الفظة.فلا عجزها في مواجهة الأزمة الاقتصادية تَستدعي ذلك ولا إصرارها على التمسك بمواعيد انتخابية ترفضها الغالبية العظمى من الشعب ناهيك عن فشل برنامج التلقيح ضد الوباء.
إن رفض الاستجابة منذ سنتين لارادة الحراك الشعبي السلمي الهادفة الى تغيير ديمقراطي جذري يغرق السلطة أكثر فأكثر في مغامرة أمنية كارثية العواقب.
و بتجريمها الحراك السلمي فإنها تتجه بنفسها نحو مزالق ستؤدي حتما إلى جرائم دولة. إن هذا التصعيد الاخر الذي يشهده شهر أفريل 2021 يدوس بوضوح على كل الالتزامات و الاتفاقيات الدولية التي وقّعتها السلطات الجزائرية والتي تحمي حقوقا تُنْتَهَكُ بلا حدود وعلى نطاق واسع.حقوق يضمنها دستور البلاد نفسه و يحميها.
إن النظام القائم يضع الجزائر اليوم في خانة الدول التي تنتهك حقوق الإنسان الأساسية و لا تعيرها أدنى احترام.
نحن المواطنين والمنظمات الموقعين على هذا البيان، نطالب بالوقف الفوري لهذا التصعيد الجنوني الذي يستهدف سلامة الجزائريات و الحزائريين الجسدية والمعنوية ونُحَّمِلُ السلطات الجزائرية المسؤولية الكاملة عن العواقب الوخيمة التي ستنجم عن هذا الانحراف القمعي، ونُشْهِدُ عليها الرأي العام الوطني والدولي. كما ندعو إلى الإفراج عن كافة المعتقلين السياسيين ووقف ملاحقاتهم قضائياً وإعادة إقرار جميع الحقوق والحريات التي كفلها الدستور والاتفاقيات الدولية التي وقعت عليها الجزائر. إن هوس اللجوء إلى القمع لم يستطع أن يوقف طيلة سنتين مسيرة الشعب الجزائري المتطلع الى التغيير الديمقراطي والسلمي، ولن يكون قادرا على وقفها هذه المرة أيضا
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Déclaration
Halte à la guerre déclarée contre le peuple Algérien
Les Algériens subissent depuis plusieurs semaines une des pires escalades de la répression contre leurs droits et libertés. Cette offensive sécuritaire et judiciaire pour les empêcher de s’exprimer, de revendiquer, de manifester, de s’organiser, de faire grève, de rendre compte dans les médias et les réseaux sociaux, d’exister en tant que citoyens est en train de prendre les allures d’une guerre ouverte contre le peuple Algérien. Elle n’épargne personne, touche toutes les catégories sociales et toutes les régions du pays. Elle invente des illusoires complots terroristes pour justifier le retour aux pratiques les plus détestables de l’arbitraire (enlèvement, perquisition, mise au secret). La torture se banalise à nouveau. Les violences policières se généralisent.
Rien ne peut justifier qu’un gouvernement traite par une telle brutalité les citoyens de son pays. Ni son impuissance face à la crise économique, ni son entêtement à tenir un agenda électoral rejeté par l’immense majorité du peuple, ni le naufrage de son calendrier vaccinal contre la pandémie. Le refus depuis deux ans d’accéder aux revendications du Hirak populaire pacifique en faveur d’un changement vers la démocratie enfonce le pouvoir de plus en plus loin dangereusement dans une aventure sécuritaire au très lourd prix. En criminalisant le Hirak il se met lui-même sur la pente glissante des crimes d’Etat. Cette escalade d’avril 2021 piétine un peu plus les engagements pris par les conventions internationales signées par les autorités algériennes et protégeant, tout autant que la constitution du pays, les droits qui sont aujourd’hui attaqués massivement et sans retenue. L’Algérie se met au ban des Nations pour son mépris des droits fondamentaux de l’homme.
Nous citoyens et organisations signataires de cette déclaration appelons à l’arrêt immédiat de cette inacceptable agression contre l’intégrité physique et morale des Algériens. Nous rendons pour responsables les autorités algériennes des conséquences funestes de cette dérive répressive et nous en prenons à témoin les opinions nationale et internationale. Nous appelons à la libération de tous les détenus politiques, à la cessation des poursuites et au rétablissement de tous les droits et libertés garantis par la constitution et par les conventions internationales signées par l’Algérie. Le recours obsessionnel à la répression n’a pas stoppé depuis deux ans la marche du peuple algérien vers le changement démocratique pacifique. Il ne l’arrêtera pas cette fois non plus.
Premiers signataires :
قائمة المنظمات
Parti socialiste des Travailleurs (PST)
Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD)
Rassemblement des jeunes pour l’Algérie (RJPA)
Union pour le changement et le progrès (UCP)
Union pour l’Algérie (UPA)
Collectif algérien contre la torture et les conditions carcérales (CACTCCI)
Collectif Initiatives Citoyennes pour le changement (CICC)
Comité de Tizi ouzou pour l’assemblée constituante souveraine
Coordination nationale des universitaires algériens pour le changement (CNUAC)
Dzair 2.0
Ibtycar
Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH)
Manifeste des militants pour les libertés démocratiques (MMLD)
Manbar Al Jazairine Al Ahrar
Nida 22
Rassemblement action jeunesse (RAJ)
Rassemblement des étudiants libres d’Oran
Union des étudiants algériens libres (UEAL)
قائمة المواطنين الموقعين
Lahouari Addi (universitaire)
Lynda Abbou (journaliste)
Brahim Aidali (syndicaliste licencié)
Kamel Aissat (universitaire syndicaliste)
Louisa Ait Hamadouche (universitaire)
Mokrane Ait Larbi (avocat)
Sanhadja Akrouf (militante associative)
Omar Aktouf. HEC Montreal.
Zoubir Arous (universitaire)
Zoubida Assoul (présidente UCP)
Abdelghani Badi (avocat)
Mohcine Belabbes (président RCD)
Samir Belarbi (journaliste militant)
Farida Belfrague (avocate)
Nadjib Belhimer (journaliste)
Akram Belkaid (journaliste)
Abdellah Benadouda (Radio Corona Internationale)
Madjid Bencheikh (ancien doyen de la faculté de droit Alger)
Abderezzak Bendjoudi (militant politique)
Mustapha Benfodil (journaliste)
Fateh Benhammou (Editeur électronique)
Ali Bensaad, (universitaire)
Malek Bensmain (réalisateur)
Saad Bouakba (journaliste)
Amel Boubekeur (universitaire)
Mostefa Bouchachi (avocat)
Abdelkrim Boudra (consultant)
Hocine Boukella (musicien)
Fodil Boumala (universitaire)
Mouloud Boumghar, universitaire, militant politique
Ali Brahimi (militant politique)
Mehdi Brahimi (ingénieur membre Ibtykar)
Samira Brahmia (musicienne, interprete)
Omar Bribi (ingénieur d’Etat)
Amina Afaf Chaib (cheffe d’entreprise membre Ibtykar)
Kaddour Chouicha (Laddh)
Said Djaafer (journaliste)
Nacer Djabi (universitaire)
Bachir Derrais (producteur réalisateur)
Ahmed Djeddai, (chirurgien, militant de la démocratie)
Khaled Drareni (journaliste)
Nacera Dutour (Sos Disparus)
Bahia Bencheikh El feggoun (réalisatrice)
Ihsane El Kadi (journaliste)
Raouf Farrah (consultant, membre Ibtykar)
Hassan Ferhani (réalisateur)
Abdelouahab Fersaoui (RAJ)
Amina Haddad (productrice)
Nacer Haddad (juriste)
Sofiane Haddadji (citoyen )
Abdellah Heboul (Avocat)
Mohamed Henad (politologue)
Mohamed Iouanoughene, journaliste
Nourredine Khadir (militant hirak)
Amin Khan (poète)
Cherifa Kheddar (militante féministe)
Said Khelil (pharmacien biologiste)
Hicham Khiat (militant politique)
Brahim Laalami (activiste)
Jaffar Lakhdari (consultant, activiste politique)
Smail Lalmas (économiste)
Samir Larabi (militant PST)
Ali Laskri (ex coordinateur de l’instance présidentielle du FFS)
Ouardia Lezzoul (avocate)
Djamila Loukil (journaliste)
Ghani Mahdi (journaliste militant)
Redouane Mansouri (universitaire)
Mohamed Mebtoul (universitaire)
Nordine Melikchi (physicien)
Benyoucef Mellouk (lanceur d’alerte)
Karim Moussaoui (réalisateur)
Slim Othmani (entrepreneur)
Fatma Ouseddik, professeur universitaire
Aissa Rahmoune (avocat)
Mahmoud Rechidi (porte-parole PST)
Abderrahmane Salah (avocat)
Said Salhi (militant LADDH)
Sid Ahmed Semiane (auteur)
Liesse Si Chaib (Architecte).
Salah Eddine Sidhoum (chirurgien)
Leila Sidhoum. (Universitaire)
Ahmed Sidi Moussa (militant Adrar)
Aldja Seghir (universitaire, membre Ibtykar)
Nabila Smain (avocate)
Nesrine Tahari (militante associative)
Lyes Touati (militant associatif)
Khaled Tazaghart (militant politique)
Hamza Kharroubi (activiste Hirak)
Farid Khemisti (avocat)
Nacer eddine Hamitouche (activiste Hirak)
Kamel Almi (journaliste)
Khellaf Ben Hadda (journaliste)
Zoheir Aberkane (journaliste)
Zaki Hannache, (militant)
Seloua Luste Boulbina (philosophe)
Ali Boucherka, militant politique
Meryem Belkaid (universitaire)
Sihem Abbes (psychologue)
Mohamed Ali Allalou (producteur- animateur radio)
Amine Khaled (conseiller littéraire, théâtre)
Boualem Ziani (producteur)
Nadia Leila Aissaoui (sociologue, militante féministe)
Thiziri Maames, militante politique
Abderrahmane Hayane, auteur, réalisateur, membre Ibtykar
Seiffeddine Abdi (
Karim Bengana (réalisateur)
Maroua Guendouz, activiste, Nida22
Nadjah Roula, militante politique, Nida22
Omar Bouraba militant associatif
Baya Merad (avocate)
Me Fatiha Rouibi (avocate)
Melissa Ghalouz, militante, Nida22
Me Afif Chaouch Abdennacer
Kahina Redjala, militante politique
Mohamed Kedia, militant, membre Ibtykar
Latifa Lounissi (universitaire)
Samir Yahiaoui, architecte, activiste
Youssef Loldj, ingénieur, membre. Free Algeria
Djalil Amrouche, Dzayer 2.0
Sid Ahmed Miliani, militant politique Nida22
Adel Benadouda, militant politique Nida22
Malika Benarab Attou, militante associative
Mohamed Daid, militant associatif
Massensen Cherbi, constitutionnaliste
Hafed Saoud (militant)
Adllen Belabaci, militant
Yahia Bounouar (journaliste)
Mouloud Termoul, militant politique
Jihed Halimi, activiste politique
Lahouari Fellahi, militant politique, Nida22
Mahmoud Djermane, militant politique
Djaballah Saighi, activiste politique
Kahina Boucheffa, psychologue, membre Ibtykar
Hacene Boudjema, co-fondateur du CAMAN
Zohral Saighi, activiste politique
Djamel Fardjallah, ingénieur militant politique
Nabil Ait Ahmed, militant politique
Krimo Bouaou, militant politique, membre Ibtykar
Timsiline Loucif, auditeur interne militant pour la citoyenneté et la démocratie
Me Kamel Haddad Azzedine
Fatiha Briki, enseignante universitaire
Houria Briki, mouvement associatif humanitaire (USA)
Mourad Briki, fonctionnaire (Suisse)
Selma Amrane, professeur de médecine (USA)
Zazi Sadou, militante féministe
Othmane Benzaghou
Abdelhak Djennane, militant démocrate
Yefsah Nadia, militante politique
Bouaziz Ahmed, militant politique
Meziani Saïd, militant politique
Me khadoudja Bousseka (avocate)
Zaoui Mohamed (militant Hirak)
Me Salim Khatri (avocat)
Abdesslam Bengoufa (militant Hirak)
Me Djamila Igherroussen (avocate)
Youcef Rezzoug (journaliste)
Me Amar Mouhoubi (avocat)
Younes Addab, militant politique
Hadj Mohand Hamid, militant politique
Tamadjiat Ali, militant politique
Maakni Hamid, militant politique
Tirouche Arezki, militant politique
Arezki Aliouet (avocat)
Brahim Kaci (miliant pour la démocratie)
Meriem-Mounira Chaoui (avocat)
Hamel Mohamed, militant politique
Lounis Hocine, militant politique
Taibi Djamel, militant politique
Ouheb Rabah, militant politique
Tayeb Kennouche, universitaire
Amar Mohand Ameur, universitaire
Nacéra Makoudi-Djaffar (avocate)
Akli Izouaene (ingénieur agronome)
Zine Boukhari (avocat)
Diaeddine Belbekhouche (avocat)
Walid Belkacem, Etudiant
Yacine Fennouh, architecte
Belkacem Belkacem, militant politique
Messadi Djamel, militant politique
Safia Bouakkaz (médecin)
Azougui Arezki, militant politique
Chaouti Ramdane, militant politique
Leila Msilta, universitaire
Kamel Bennadji, universitaire
Nora Chili, militante politique
Me Hafid Hasni (avocat)
Me Saliha Allouache (avocate)
Me Lamia Messai (avocate)
Mohamed Larbi Hazem, retraité de la banque d’Algérie
Louni Abdelkader (militant de la démocratie)
Mohamed Said Ouldoulhadj, ancien cadre du FFS
Hanafi Si Larbi, militant pour la démocratie
Kousseila Iddir, militant politique
Djamel Sedira, cadre de gestion retraité
Nasser Bensefra, activiste politique
Mustapha Benamzal, étudiant
Hadj Boudou (militant de la démocratie)
Bouallag Badr Eddine (avocat)
Boudjmia Nabil (avocat)
Lamali Rebaine (avocat)
El Hachimi Ghezali (militant de la démocratie)
Younes Ghili (militant de la démocratie)
Djamila Addar (enseignante, journaliste)
Asma Mechakra
Imad Lakhdara
Hocine Djidel
Assia Guechoud
Ahmed Mostefaoui
Karim naït Ouslimane
Mohamed Benaissa
Me Yamina Alili
Me Mohamed Amine Bendahmane
Me Said Zahi
Me Youcef Benkaaba
Me Yahia Nasser
Me Nabil Belahouane
Amel Nouaouria Bouharis
Me Farida Boumaza
Me Imene Cheboubi
Me Halla Mohamed
Me Zakaria Belahreche
Me Soulef Belhanneche
Me Leila Boughrara
Me Ahmed Zennouche
Me Fatma Zohra Meziane
Me Hassina Djerrah
Me Mohamed Tahar Boughaba
Me Omar Boussag
Me Ahmed Mebrek
Me Lydia Lounaouci
Me Elias Boudiaf
Me Nora Nehdi
Abdelkader Kouafi
Me Amel si Ammour
Me Said Halit
Me Fatima Hedjal
Me Ramzi Chekhab
Me Mohamed Amine Hamitou
Boualem Ait Ameur
Me Abdelbasset Yahiaoui
Me Kamel Rachid Louh
Me Meriem Chekirine
Me Badreddine Bouallag
Mohamed Khatir Kaoudja
Hamid Bechekat
Samia Bouachioum
Yanis Boumdjene
Nabila Baza
Belkacem Hafid
Nadir Boukhatta
Samira Hadjres
Meriem Daoudi
Sami Zelmati
Billel Kourdi
Amel Badji
Me Mounir Gharbi
Me Madjid-Idir Hachoir
Me Sonia Mokrane
Leila Guiri
Ahmed Benseghir
Asma Miahi
Mohamed Fawzi Ounsi
Me Samira Aggoun
Me Nassima Rezazgui
Nacéra Ghozlane
Yamina Meghraoui
Boualem Ait Amar
Soheib Chaouchi
Pouvoir assassin
Voici le lien pour signer la déclaration :
https://forms.office.com/Pages/ResponsePage.aspx?id=moy1h5cV7UyKDlVbFGz-wHFUeYqPK0dGs0pwbO5KlpFURDRUUjlGTUpWNjhNVTFLSVoxS09ESFJENy4u
C’est la réalité amère que vit le peuple algérien hélas avec le silence complice d’une caste de la société qui vit autour du gang des généraux constituée :
-d’une élite servile qui cautionne tout ce que dicte le gang et couvre ses méfaits (même la séparation d’un mineur de 15 ans de sa mère pour l’incarcérer et lui faire choper un diabète), une élite qui cautionne tous les scrutins les plus ridicules et inutiles soit-ils, une élite aux diplômes et titres pompeux sans aucune trace scientifique, ni reconnaissance ni consécration de travaux reconnus, des khobzistes de services qui ont bouffés leur honneur et principes. On retrouve parmi eux des universitaires, des médecins, des journalistes, des magistrats, des écrivains et des penseurs.
– des opportunistes en quêtes de postes et de fonctions à saisir pour améliorer leur situation et faire des affaires sur le dos du peuple, des affairistes ayant déjà servi dans les associations ou partis politiques, des fonctionnaires, des hommes d’affaires qui ne ratent aucune occasion pour être admis aux cercles de décision des APC, aux députés, parmi eux tous ses minables (sans exception) qui ont déposés leurs dossiers de candidatures pour ce dernier scrutin et les précédents.
– la majorité des services de sécurités, policiers, gendarmes et services secrets dont le souci majeur et la protection du gang et de ses intérêts pensant perdre leurs avantages si le gang venait à disparaître, des avantages qui se résume à un logement de fonction, un salaire, des voitures de services, des bons d’essence et la sensation de représenter la force et le pouvoir alors que ce sont de simple serviteurs qui souffre du manque d’huile et du sachet de lait et qui au fond d’eux meme savent que ce sont des laches car ils subissent les pires réprimandes qui viennent de leur supérieur ou quand ils ont a faire à ceux d’en haut ou de leur progéniture, aussi lache que cela puiisent paraitre, ils refoulent toutes ces traitements inhumais sur ce peuple pacifique.
Il faut résister, c’est le dernier quart d’heure et il ne faut surtout pas que ça dérape, c’est ce que ce pouvoir cherche à obtenir Pacifisme et solidarité « Dirou wasch eddirou wallah ma ranach habssine » « faites ce que vous voulez , par Allah. on (le hirak) ne vas pas s’arrêter « ديروا واش اديروا و الله ما رانا حابسين »
Signer la déclaration, c’est le minimum pour dire non à cette injustice. Si vous faites part de l’une des trois castes citez plus haut, regardez vous dans un miroir et posez vous la question êtes vous vraiment un Algérien digne.
Le « gang de généraux » croyant user de la force faire taire le Hirak, en réprimant cette semaine, les pompiers puis les étudiants et en brandissant les menaces tous azimuts , emprisonnement de Mr Tahar Missoum « Spécifique » , en plus des lourdes peines lors des différents procès et menace d’emprisonnement pour quiconque osera critiquer le pouvoir , ou qui s’oppose ou critique le scrutin des « opportunistes « . Qu’en fut-il sur le terrain lors du 116 Vendredi ? La réponse ne pouvant être plus claire, fut sans équivoque.
Doula rahi taqma3 Wallah mana habssine ;
Dirou wach edirou wallah mana habssine
الدولة راهي تقمع و الله ما نا حابسين ديروا واش اديروا و الله ما رانا حابسين
Ce peuple vient de confirmer sa détermination , ce ne sont point les menaces de néoharkis avéré qui vont lui faire peur , ce n’est pas ces candidats opportunistes qui onrt déposéer leur candidatures dans l’espoir de récolter quelques privilléges avec le gang , ni ses journaliste de services et leur scénario puéril qui vont lui faire changer d’avis , oh que non le peuple est décider a décrocher son droit à la liberté ce n’est certainement pas ces magistrat corrompus qui attendent les sonneries de leur telephones pour executer les ordres des généraux , ni ces policiers serviles qui useront de leur matraques contre les membres de leur propres familles si leur choaker le leur demander qui vont faire abdiquer ce peuple , ce peuple qui avance doucement mais surement , ce peuple si imprévisible et qui nous réserve peut etre la surprise lors de cette derniere semaine de ramadhan qui s’annonce trés tres chaude et rempli d’action , en plus des greves de plusieurs corporation , la commémmoration et le célébration d’un 08 mai spécial Hirak
Oui, le Hirak deviendra une référence planétaire. Messieurs, du « gang des généraux » préparer vos valises, plutôt vos avocats, car wallah ma rana habssine et pour une vraie justice rayhine