L’ARGENT FAIT LA FORCE ET LA FORCE FAIT LA LOI

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algerie-faux-dinars-0061_1« Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux » citation             
La trinité : économie,  finance et la  force  représente le pilier  de la suprématie d’où découle la loi du plus fort. Depuis la déconfiture de l’URSS, les USA possèdent  ce trésor ou cette trinité permettant d’imposer leur propre loi, celle  du plus fort évidement pour bien exister au détriment des petits, des faibles, et des misérables et mieux vivre avec des vassaux, des laquais, des sbires, des serviteurs et des comparses …. Malheureusement cette force US  n’a jamais été utilisée pour bannir l’injustice, l’équité, ni encore les inégalités .Ils ont avantagé et privilégié   les abus, la cruauté, les usurpations, l’illégalité, le terrorisme….Depuis les premier temps  de la vie humaine les injustices et les inégalités ont été combattu par diverses révoltes.
Les riches sont plus forts que les pauvres. Pour  capitaliser plus d’argent, pour accumuler plus de richesse, pour amasser plus de fortune, pour s’enrichir davantage;  Ils font des guerres, ils détruisent, ils  colonisent  les pays  faibles laissant la misère au pauvres. Ils sont comme des ubiquitaires, ces oligarques de la haute  finance  règnent sans partage dans ce nouveau monde ou le sens, la raison, la valeur, la norme et la morale n’ont de sens qu’à travers le profit.
Par la raison, la conscience et la philosophie  des finances, ces oligarchies transforment nos pays comme un laboratoire  et nos sociétés comme des  outils dans le but de tirer le maximum de profits. Ils ont institués dans le milieu politique la corruption   pour faciliter un gain en plus du profit. Les boys de Chicago ont doté  les  écoles des pays « d’ El InFitah »( liberaux)   d’  une philosophie  de  servitude   pour mieux vénérer le nouveau faux bourgeois démunies de toute noblesse, on les qualifie chez nous de   « Khanez bi drahem » (nouveau faux maitre ).
Les boys de Chicago ces instructeurs dépêchaient  par le FMI ( organe des oligarchies)pour  doter et actionner  la machine de la corruption à grande échelle  comme un alinéa  dans les textes de la nouvelle république, le pouvoir, les biens, et les privilèges  sont canonisés dans des textes de la république  pour devenir « bananière ».
Le peuple est manœuvré pour être  soumis à la division par des affidés constitué par les oligarchies pour mieux se « claniser »  afin que la formule chacun pour soi renforce l’égoïsme personnel et la doctrine diviser pour  régner trouvera son chemin  au milieu de la plèbe  chez nous on le qualifie de « Ghachi »( les gens).
Quant à la liberté d’expression, liberté d’opinion «  ahdark bark » cause toujours, « aktab bark » tu peux écrire tant que tu veux ; la justice est une balance trop déséquilibrée,  est tenue par des coups de fil  ou l’argent fait le poids et la masse en même temps, l’argent  est roi et il fait sa loi. Les oligarques se sont  attribués, appropriés de la  haute finance.
Cette haute finance est une commande  qui sert à populariser la philosophie  ultralibéralisme  à travers des « idios- visions » , de la « presstitution » et des « rats idiots » pour mieux moraliser la pensée libérale ainsi que la soumission, la servilité et même l’ignorance
Le peuple est écarté car il  n’est plus une masse laborieuse, c’est un « ghachi » genre plèbe qui ne sait ni la vérité des choses, ni les causes de son malheur, il réfléchie et pense  avec son ventre sa tête est sépare de son cerveau et son esprit est mis à la disposition des oligarchies.
         « Quelle époque terrible que celles ou les idiots dirigent les aveuglent »  citation
Lorsqu’on lui parle de la crise, la plèbe  pense à la fatalité et se soumet au chomage, évite les révoltes, parle trop de  l’inflation, participe au désordre, contribue à l’indiscipline, conteste « el hogra » sans se manifester …. Ne sont que la conséquence du non droit  « tag ala men tag » voila la paix sociale est garantie pour les oligarchies.
Pour certains pays rentiers, la rente représente  une source de profits pour les  responsables, le tarissement de la rente pétrolière ouvrait droit à une loi des finances pour pérenniser la source de profits, une nouvelle  rente via une augmentation de la TVA qui va directement alimenter le vide laisser par la rente pétrolière. Les oligarques nouveaux ne parlent jamais de profit, de rente et de gain qu’ils gagnent par des opérations « import- import ».Les détenteurs du pouvoir ne veulent jamais  expliquer, ni dire la vérité sur  l’argent qu’ils extraient  du pétrole et des impôts, cette rente est mise à la disposition de la spéculation et non pour les opérations de création de richesse  et de valeur.  Cette nouvelle  pseudo-oligarchie pense pour nous, agit pour nous, nous laissant pour toute appétence, aspiration, convoitise et  prétention  que  l’humilité, la résignation, la conversion  et l’asservissement.
Les mots ne sont pas assez forts pour vous dire combien vous nous dépitez avec votre caractère dominant. Aucun humain ne se dresse contre un humain et vous allez devoir l’apprendre. Les 1% représentant l’élite dominante, il serait judicieux de faire plus humain en 2017 et de se consacrer au bien commun, plutôt qu’à leur propre intérêt égoïste
Il faut se méfier de l’eau qui dort, Abraham  Lincoln disait bien qu’on pouvait tromper un peuple un bout de temps mais pas tout le temps , après la nuit qui appartient aux  « Ghachi » apparaitra le jour qui convient au peuple éveillé alors il faut penser à rendre des comptes à ce bon peuple car ce dernier a plus de moyen pour mieux cultiver les vraies  connaissances  qui assurent une nouvelle consciences de bien, d’agréable, d’utile, de juste, d’équité et de beauté . .
BENALLAL MOHAMED

5 Commentaires

  1. Min Rab EL Djazair Ila Arbabiha. ETRH Biya Temchi El Djazair, Yajaouaa Kalbak I tabaak, Ah Ya si ahmed fi Djazair Chouaib Lekhdim Fi Iza oua Karama.

  2. Bonjour à tous,
    Moi je trouve tout cela normal, je dirais même naturel. Pensez vous, si ce n’était pas ces oligarques qui actionnent tous ces leviers eh bien ça serait d’autres. On ne va pas me dire que si d’autres avaient la possibilité d’imposer au monde leurs lois ils s’en seraient privés. De toutes les manières la terre ne dispose pas de ressources suffisantes à l’infini et que tôt ou tard une rivalité sans merci se serait engagé entre différentes factions pour survivre… peut être que ça a commencé plutôt que prévu. Il y a certes des injustices un peu partout même beaucoup partout dans le monde et à tous les niveaux. Mais ce sont des injustices vues par les plus faibles, par les moins nantis…et si ces plus faibles et ces moins nantis avaient eu la possibilité d’imposer leurs lois ils l’auraient fait sans coup férir et les plus forts d’aujourd’hui seraient devenus les plus faibles et auraient crié à l’injustice. En somme, la nature est ainsi faite, comme au serenguetti et au massai marra où les tribus d’animaux les plus forts imposent leurs lois aux autres….pour un temps jusqu’à l’extinction des feux. Bonne journée à tous.

  3. Bonjour à tous,
    C’est sur El Watan d’hier le 08/01/017. On en rigole bien sur. Jugez en.
    Incroyable mais vrai ! Un simple coup d’œil à l’annexe “A” de la loi de finances pour 2017 publié sur le site du Journal officiel de la République algérienne du jeudi 29 décembre 2016 montre plusieurs erreurs grossières de calcul, impliquant un écart qui se chiffre en milliers de milliards de dinars.
    Cet état qui reprend, chapitre par chapitre, les ressources du budget général de l’État comporte, en effet, plusieurs erreurs d’addition. S’agissant du cumul des recettes fiscales, produits des contributions directes, d’enregistrement et du timbre, des impôts divers sur les affaires (dont la TVA sur les produits importés), contributions indirectes, des douanes, le sous-total indiqué, exprimé en milliers de dinars, est de 2 845 374 000 DA alors qu’il est exactement de 2 815 383 000 DA, soit une différence de plus 29 991 000 000 DA. Plus grave encore, nul besoin de calculette pour effectuer ensuite une simple addition de “tête” des recettes ordinaires exprimées en milliers de dinars et déclinées chapitre par chapitre pour relever une apparente contradiction, une fâcheuse ambiguïté accentuée par des chiffres largement arrondis : 25 000 000 + 75 000 000 + 20 000 ne donnent pas un sous-total de 100 000 000, comme mentionné, mais bien 100 020 000, soit une différence de moins 20 000 000 DA. On n’en croirait pas ses yeux. Après corrections, le total général des recettes est donc de 5 605 523 000 000 DA et non pas de 5 635 514 000 000 DA tel qu’indiqué en chiffres et en lettres dans le corps du texte à l’article 115 qui stipule : “Conformément à l’État A annexé à la présente loi, les recettes, produits et revenus applicables aux dépenses définitives du budget général de l’État pour 2017 sont évalués à cinq mille six cent trente-cinq milliards cinq cent quatorze millions de dinars (5 635 514 000 000 DA).”
    Un écart-erreur de… 300 millions de dollars
    La différence totale est de plus 29 971 000 000 DA, soit environ 300 millions de dollars américains.
    Ces erreurs laissent pour le moins perplexe et suscitent des interrogations quant à la fiabilité de l’information délivrée par les autorités nationales.
    Elles jettent, en tout cas, le trouble sur la crédibilité des évaluations et l’exactitude des informations et des prévisions figurant dans la loi de finances et, plus généralement, dans les documents officiels. Sans omettre qu’elles viennent mettre à mal la cohérence des projections financières, notamment sur cette fameuse “vision économique” censée faire de l’Algérie un “pays émergent” en moins de deux ans, dixit le Premier ministre, Abdelmalek Sellal.
    Enfin, cette bévue, un impair impardonnable, dénote d’un manque de coordination inacceptable entre les différentes institutions du pays. Une loi de finances ne peut avoir, en effet, de caractère approximatif et ne doit, en aucun cas, souffrir quant à l’exactitude et la sincérité des chiffres qu’elle contient. Un peu de vigilance de la part du secrétariat général du gouvernement, du Conseil des ministres, notamment du ministre en charge du Budget ou encore des centaines de parlementaires des deux chambres auraient pu dispenser, aujourd’hui, nos lecteurs de ricaner et, plus grave, de douter définitivement, et plus que jamais, du sérieux du gouvernement.
    Mohamed-Chérif Lachichi

  4. Je vis bien en subissaNT l injustice et pas en l’infligeant aux autres. Je vie bien avec mon petit salaire gagnè honnêtement. Je dors sur mes deux oreilles je n’ai pas peur d’être volé je n’ai rien.
    Je suis heureux de croire en Dieu et je suis heureux de savoir que je vais mourir.
    Je souhaite juste planter un arbre.
    Je leur laisse tout. Je ne prendrai rien.
    Qu’Alla me donne mon livre par la main droite.
    La vie est un éternel test et le tout est déjà écrit. J’ai choisi mon camps et ils ont choisi le leur.

  5. Bonjour à tous,
    Chawki amari d’aujourd’hui sur el watan.
    Même le ministre de la Pêche le sait, la banane est, pour des raisons inexpliquées, le fruit le plus prisé des Algérien(ne)s. C’est donc pour d’évidentes raisons de sadomasochisme qu’elle est actuellement cédée à 600 DA le kilo, soit 100 DA la banane. Ce qui n’a pas manqué de susciter la colère, comme si l’IDH, l’inflation ou le taux de chômage s’effaçaient en tant qu’indicateurs de crise devant le prix de la banane. Cette focalisation n’est pas pour autant totalement absurde puisque même l’Etat, à chaque fois qu’il veut gagner de l’argent sans travailler, surtaxe les cigarettes, l’alcool et la banane.
    On peut comprendre pour les deux premiers, personne ne s’en plaindra parce qu’ils sont censés être néfastes, mais pourquoi la banane ? Mystère, d’autant que l’homme partage avec la banane 50% de son ADN, ce qui ne veut pas dire qu’un homme sur deux est une banane mais que leur patrimoine génétique se ressemble, tout comme le génome humain ressemble à 99,4% à celui du chimpanzé, 90% pour le cochon, 60% pour les éponges et 80% pour le ténia, pas la ville mais le petit serpent. Sauf que la banane est un concentré de potassium, minéral essentiel qui assure plusieurs fonctions vitales, dont celle, très importante, de faire baisser la tension artérielle. D’où cette théorie qui évoque une manipulation (non génétique) pour faire monter la tension et provoquer des émeutes afin de se (re)légitimer en tant que garant de la stabilité devant les mains étrangères, comme vient de le souligner le sociologue Nacer Djabi : «L’émeute ne menace pas le système, elle lui sert de fortifiant.» Vrai ? La seule chose que l’on sait est dans la loi de finances, dans une phrase écrite telle quelle : «Pour les véhicules de cylindrée excédant les 2000 cm³ dont les véhicules tout-terrain et les bananes fraîches, le montant de la TIC est passé de 20% à 30%. » Dans la tête obscure du dirigeant, on ne peut comprendre qu’une seule chose : désormais, il sera plus cher de conduire une banane.

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