DEPUIS L’APN, L’ELU A BIEN SAISI QU’AVEC LE POUVOIR IL POURRAIT S’ENRICHIR EN EXPLOITANT LES AUTRES
En cette période des élections très moribonde ou plus rien n’a de sens, ni d’importance sinon tout se qui se rapporte à la mercuriale des biens de consommation spécialité « boustifaille » donne le tournis au lambda. Les valeurs d’honnêteté, de respect, de fraternité, de solidarité, tout est « serpillé » même la moralité pour ne laisser place qu’ aux intérêts personnels , une façon de diviser pour mieux régner et c’est ce « POUVOIR » qui tire les ficelles et bénéficie de cette machination dictée par les oligarchies extérieures.
Le Brainstoring ( Tourbillon d’idées)
Il faut dire que beaucoup de personnes, d’amis, de familles, de jeunes, de vieux, de femmes, de retraités, de salariés de…. De… de… se sont déchirées pour rien à cause de différents opinions sur tels ou tels sujet se rapportant sur la situation écrasante qui prévaut dans ce pays. Aujourd’hui, ce quotidien est entaché de la « boulitique » , noyée dans une drôle de campagne électorale, elle est mise en branle et se sont des questions qui se posent mais qui ne trouvent point d’éléments de réponses car les des sont déjà pipés.
Le Maindmapping( la carte d’idées)
Entre ceux qui veulent voter, ceux qui ne veulent pas voter et ceux veulent choisir entre le FLN, le RND, le HAMAS et les autres petites cylindrés, d’autres voteront blanc et ils sont nombreux . Les opinions du vote sont différents mais la majorité vont vers les passions des gens que l’invective, l’insulte, la violence se substituent à l’élu qui courre avec sa besace financière derrière la voix pour assouvir ses propres intérêts. Un très GRAND salaire qui défraie la chronique de n’importe quel cadre, ou lambda , des avantages en nature que le rêve ne peut le faire , une immunité pour faire ce bon lui semble et tout cela pour un geste du bras qui s’effectue vers le haut dans la tribune de l’APN de l’enceinte de l’Assemblée Non Populaire l’écho du peuple est absent le seul son des cloches se sont les affaires, les avantages les injonctions funestes et les combines .L’élu a droit aussi à accès au cercle des gens d’en hauts, faire des connaissances avec les hauts placés ceux qui habitent le château de carte institutionnel, par contre aux yeux du peuple, la majorité silencieuse sait pertinemment que les élus ne tiennent que le rôle du ridicule qui font vivre leurs bêtises de députation au delà de l’absurdité de son être d’être l’élu et de sa stupidité fonctionnelle et non représentative.
Les problèmes apparaissent quand la « compétence » de ceux qui exercent l’autorité n’est plus reconnue par ceux qui la subissent
Très Souvent certains et même beaucoup d’ élus ou candidats de la première place et parraineurs affirment des fausses vérités qui ne peuvent pas se réaliser, vont même jusqu’à dire des mensonges sur des réalités ,faits ou événements pour se justifier et avoir totalement raison ou bien avoir le dernier mot d’un haut mec ! Ceci se passe uniquement pendant la période des élections activité principale de nos partis.
La Société, l’élu et le pouvoir
Cette situation de nos élus ou candidats n’est que le fruit d’un comportement politique qui depuis trop d’années a prétendu que pour être « aimé » ou être indispensable et respecté dans la forme mais savent qu’ils sont haïs dans le fond de chaque personne qui forme ce peuple. Il fallait être riche et sans scrupule (voleur), avoir le pouvoir (pouvoir de l’argent)et savoir manigancer avec le l’argent( corruption) , il s’imagine que le peuple va croire ce que dit cet élu, car étant riche c’est parce qu’il a trouvé cette facilité pécuniaire pour faire une alliance d’intérêts avec le politique.
Cet élu deviendra par sa malice( détournement) le propriétaire d’un large patrimoine public choisi avec un crédit bancaire facile et le pauvre lambda condamné à le servir. Allah Y arah mek Ya si El Houari Boumediene il le disait dans un discours en 1974 à Constantine : « Si jamais un gouvernement bourgeois s’installait dans notre pays avec ses appareils et sa police, le paysan et l’ouvrier ne connaitraient que l’avilissement. Il va sans dire aussi qu’une classe bourgeoise serait créée et serait pire que le colonialisme lui-même »
« Chkara » pièce maitresse du jeu politique
Ces nouveaux politiciens financiers, ces élus et ces responsables imbus de leur personne, prêt à tout pour protéger par tout moyen leurs privilèges, ils n’ont fait que servir une caste de faux riches( Khenzine be drahem) qui ne se sont jamais souciée de la misère des autres ou des difficultés des lambadas. Ces nouveaux faux riches qualifient le peuple de plèbe ou populace. Leur mépris est flagrant, ils ne se rappellent de notre existence formelle seulement lorsqu’il y a des élections. Alors ils ne s’inquiètent jamais de nos difficultés mais de leurs privilèges, fortune, statut ….. Ils font tout pour ne pas perdre leurs sièges risquant de perdre à la fois l’autorité et les profits.
Les nouveaux oligarques
En fin de mandat, il ya combien d’élus qui se sont transformés en patrons d’entreprises, en commerçants véreux, en importateurs.
Comment dans ces conditions pouvons-nous espérer que ces spécialistes de l’enrichissement illégal et illicite puissent défendre ce peuple. Sauf si l’on se soumet à leurs combines électorales, mensonges, truquages,…., quand ils nous emploient pour leur compte. Pourtant nos élus appartiennent au clan du Capital compradore. Après nous avoir mouiller dans cette campagne électorale, elle nous donne déjà une image qui l’emporte sur la réalité amère, où le mensonge remplace la vérité, où l’abus de confiance se substitue à l’honnêteté, la corruption devient pour eux clé d’échange, l’hypocrisie une valeur d’existence…., ils nous demandent de choisir entre le loup, le chacal ou le hyène par lequel nous devrons être croquer !!
La loi de l’argent
Soit nous resteront de pauvres idiots pour ne pas comprendre que nos candidats (élus) continueront à servir et protéger les « khanezine be drahem » , et une fois élus ils voteront certainement des lois qui asserviront encore plus le peuple.
Ces députés d’hier, d’aujourd’hui et de demain continueront à protéger ce système du capitalisme sauvage et destructeur, annexant les pauvres à leur propre exploitation en les convainquant qu’ils n’ont pas d’autres solutions en dehors de la soumission.
La force du FMI
Cette situation de l’état algérien était programmée tout juste après la chute du prix du pétrole et l’entrée en force du FMI pour faire le grand ménage de la maison Algérie avec un programme structurel de soumission qui dépasse le système colonialiste. L’Algérie ( peuple) n’a pas négocié ce mauvais virage programmé par le FMI, cette prodigalité généreuse de la rente issue des ressources minières, pétrolières et gazeux sous un pouvoir soumis aux forces impérialistes étrangères.
La fausse paix sociale
Il était facile de pigeonner et soudoyer la population active première force productive du pays pour sauvegarder la paix sociale tout en créant de nouvelles charges sociales à l’état qui seront dans le temps incapable de supporter et d’assurer ses charges après le tarissement de la rente, par conséquent, il faudrait dans cette situation ou la production de la richesse est inexistante du contexte économique ( économie spéculative et non productive) penser a vendre à bas prix la capital algérien c’est-à-dire son patrimoine( immobilier de l’état) et privatiser ses propres ressources pour couvrir les besoins essentiels de la population devant un chômage toujours en plus, une inflation galopante, une dévaluation importante de la monnaie, une croissance négative , …le tout mènera le pays a une catastrophe économique certaine .
Stratégie de choc
Ce pouvoir avec la complicité des forces étrangères poussera le pays vers le chaos c ‘est pourquoi il ne voudra pas responsabiliser la société civile avant d’avoir liquider toute la rente disponible qui en principe devrait être destiner à être mise au service de l’ investissement pour la prospérité du pays .
La libéralisation sauvage du capital algérien est programmée car elle est menée en dehors de la société ; ce qui lui permettra de mieux spolier les ressources du pays .La libéralisation exige un pouvoir issu du peuple, des élections libres et transparentes, une administration neutre et responsable des ses actes devant le peuple et non un pouvoir rejeté par le peuple dont la majorité ne cautionne pas ce système et ceux qui ont voté (legislatif2017).
Le peuple tourne le dos aux urnes
Il y a les abstentionnistes qui ressortent majoritaires de ce scrutin selon les chiffres annoncés par les medias, se sont plus de 14 millions qui refusent clairement et nettement de s’inscrire dans un processus électoral «inutile et biaisé», selon leurs propos, alors que ceux qui ont choisi le « vote blanc » ou le « bulletin nul » ont, eux aussi, exprimé leur rejet du personnel politique en lice dans cette compétition électorale.
Conclusion
Par conséquent, la future « Assemblée populaire nationale » illégitime, est appelée à voter des lois de plus en plus antisociales à cause de la crise qui s’amplifie de pire en pire .Les différentes politiques de se régime a failli à sa promesse pour une « vie meilleurs » , ou des fortunes sans sueurs se sont bâtis impunément sur le « dos » de ce peuple, on lui avait promis également qu’on allait mettre pour la direction de ce pays « l’homme qu’il faut à la place qu’il faut » pour assainir dans le sens de la justesse et l’équité les rouages de ce pays( état de droit et de mérite par le travail), alors ce peuple a constaté que des gens incompétents placés dans des postes de directions semblables au ver dans le fruit.
Aujourd’hui ce peuple a fini par comprendre qu’il est inutile de participer à des élections qui ne résulteront par aucune avancée dans le bien fondé de l’état de droit, dans la prospérité du peuple, dans la création de la richesse pour le bien être de tout le monde. Le peuple n’a pas profité (investissements, le plein emploi, création de richesse, l’ éducation, ….) quand les caisses de l’état étaient pleines, ce n’est aujourd’hui qu’elles commencent à se vider que ce peuple en tirera un quelconque bénéfice. Lors de cette élection législative 2017 le peuple répond gentiment aux bonimenteurs politiciens assez ! assez ! De nous prendre pour des dindons de la farce.
BENALLAL MOHAMED
Je tiens à vous remercier monsieur Benallal pour cet article qui vient encore une fois faire un constat succinct de la situation qui prévaut dans notre bien aimé pays. Je suis certain que vous pourrez écrire encore et encore. Pour cela, je désire, si vous le permettez, dans la continuité de vos propos,ajouter quelques petites remarques pertinentes. En premier lieu, l’Algérien oublie très vite. Il passe son temps à faire des constats. Il n’a pas de repères. Le passif de l’Algérie est très lourd. Pour une fois, à travers ces élections boudées, on constate un sursaut, un réveil de la grande majorité des Algériens. Le bon dieu a fait en sorte d’avoir humilié à travers leurs discours de bas étages, du niveau de l’ardoise, ce pouvoir. Tous les Algériens ont donc vu le degré d’incompétence et de médiocrité de nos gouvernants. La rupture est déclarée. Les dés sont jetés. Nous avons donc, pour une fois,car il y a solidarité, malheureusement éparpillée, la chance de jouer cartes sur table avec ce pouvoir. Cette rupture va durer certes,mais cela permettra d’unir les Algériens autour d’un projet de société d’ou découlera une constitution écrite par le peuple et non pour le peuple. L’Algérien doit en premier lieu apprendre à être citoyen. Ces jeunes des années 90 doivent s’unir et s’organiser d’une manière pacifique et sans concessions. Il y va de leur avenir car dorénavant l’Algérie leur appartient. Ce pouvoir existe parce que l’Algérien est un subordonné. On ne tue un imbécile que par le silence. Il faut demandé à discuter avec le vrai pouvoir, le pouvoir occulte. Celui qu’on nous présente vient de montrer ces lagunes.
Que croyez vous? Tout ceux qui font de la politique en algerie le font uniquement pour l’ argent et faire fortune rapidos, donc se servir au lieu de servir,ceci evidemment depuis 1962 . Notamment les Deputés ,senateurs, maires etc, etc.Il suffit pour avoir une idée, d’examiner la liste des gens les plus aisés du pays.